mardi 18 juin 2013

Né quelque part de Mohamed Hamidi 19 juin 2013

Farid, jeune Français de 26 ans, doit se rendre en Algérie pour sauver la maison de son père. Découvrant ce pays où il n’a jamais mis les pieds, il tombe sous le charme d’une galerie de personnages étonnants dont l’humour et la simplicité vont profondément le toucher. Parmi eux, son cousin, un jeune homme vif et débrouillard qui nourrit le rêve de pouvoir rejoindre la France...

jeudi 13 juin 2013

Salon de l'mploi à l'université Constantine 1 Des idées pratiques pour les jeunes porteurs de projets

Les étudiants ont eu à découvrir les expériences de plusieurs entreprises créées par de jeunes diplômés dans différents dispositifs, ayant connu un réel essor.

Quarante-deux exposants de différents horizons ont pris part à la 4ème édition du salon de l’emploi, organisée hier et aujourd’hui dans le hall du bloc des lettres de l’université Constantine 1. Ce salon a été marqué par la participation d’un nombre important d’opérateurs économiques issus de divers organismes. Ce sont des animateurs de stands manifestement aguerris à ce genre de rencontres qui accueillaient les demandeurs d’emploi, curieux de découvrir des opportunités d’accès au monde du travail. Instituts de formation, opérateurs économiques, dispositifs de création d’entreprises ainsi que les corps constitués, étaient présents et chacun, selon son programme, tentait d’accaparer un maximum d’étudiants. Le centre des carrières et Emploitic enregistraient une affluence significative. «Le dispositif mis en place depuis 2009 n’a pas tenu toutes ses promesses en matière d’emploi ou de stages pratiques au regard du nombre totalement insignifiant de demandes.
La raison principale demeure une communication obsolète qui occulte toute la bonne volonté de ces initiateurs. Toutefois, le programme d’action prévu pour cette année, permet d’espérer une plus grande adhésion», nous confiera madame Aouabdia, responsable du centre des carrières. Quant à Emploitic, un site générateur d’emploi, c’est une aventure qui a commencé en 2005 avec deux personnes dans le cadre de l’Ansej, comme nous l’a expliqué Abdenasser Boudchiche, représentant la région Est. «Actuellement, le nombre a atteint 45 personnes, preuve que la société a connu un essor spectaculaire, notamment au regard du nombre de visiteurs qui ne cesse d’augmenter et des résultats probants qui s’en suivent, avec le chiffre de 10 000 placements qui demeure une preuve irréfutable d’une efficacité avérée», explique-t-il. Et d’ajouter : «Toutefois, pour la région Est du pays, un grand travail est nécessaire du fait de quelques réticences de certains opérateurs qui, s’ils éprouvent de grandes difficultés à pourvoir leurs entreprises en compétences, persistent dans des modes de recrutement traditionnels.»
C’est pour cette raison que ce type de rencontres constitue une réelle opportunité pour toutes les parties, qui en fait, expriment les mêmes besoins. Dans un autre registre, certains instituts de formation tentent d’apporter des réponses concrètes à une main-d’œuvre de qualité en prodiguant des formations puisées des grandes écoles internationales telle CISCO. L’avantage de ces formations, pour la plupart de courtes durées, est qu’elles sont garanties par un programme reconnu universellement, mais surtout cette opérationnalité des candidats qui seront bien préparés à entrer de plain-pied dans le monde du travail. Reste cependant que pour les étudiants le choix entre les dispositifs de création d’entreprises à l’image de celui de l’Ansej et les formations nécessaires, demeure un vrai dilemme. Pour Nesrine, une étudiante en 2ème année langues, ce salon constitue pour elle une aubaine pour se fixer sur son avenir. «D’abord le fait qu’ils soient présents en nombre et cette facilité à poser toutes les questions qui nous  préoccupent c’est déjà une bonne chose», dira-t-elle. Mourad, quant à lui, est un habitué de ces salons qui lui ont permis de se faire sa propre base de données sur ces entreprises. «Le moment voulu, mon choix sera assez facile pour opter pour telle ou telle opportunité», nous confie-t-il.
 
EL WATAN

OUADHIAS : 2ÈME ÉDITION DE L’ÉCO-CARNAVAL DU DJURDJURA Les préparatifs vont bon train



Les organisateurs de la 2ème édition de l’éco-carnaval du Djurdjura, qui aura lieu après-demain à Ouadhias, multiplient leur, contacts et supervisent les préparatifs pour réussir comme il se doit cet événement. 

Selon eux, cette 2ème édition va réunir pas moins de huit wilayas du pays, notamment Batna, Mila, Oran, Tipaza et Tébessa, ainsi que 12 daïras de la wilaya de Tizi-Ouzou. « Cet événement est important, l’objectif tracé attirera surement l’attention de toutes les parties concernées par la protection de l’environnement qui pourront œuvrer ensemble afin de trouver des solutions aux problèmes de la gestion des déchets, notamment à travers la leurs valorisation et transformation », souligne le membre d’une association. En effet, il y a lieu de signaler qu’une exposition d’objets fabriqués à partir de déchets ménagers récupérés, qui s’étalera sur deux jours, sera organisée, au parc communal d’Ouadhias avec la participation des associations présentes à cet événement. De leurs cotés, l’ANEM, ANSEJ et d’autres organismes vont expliquer aux visiteurs les procédures administratives pour bénéficier des différents dispositifs d’aides à la création des micro-entreprises spécialisées dans le recyclage. La journée du Samedi 15 juin sera riche en activités. Les organisateurs ont prévu, dans la matinée, une parade des participants qui s’ébranlera de la place du marché pour aller jusqu’au centre-ville  au niveau de l’école primaire Tifrani. Vers 11h, après une visite de l’exposition, les présents seront conviés à une conférence au centre culturel d’Ouadhias. Les membres des associations invitent les citoyens de toute la wilaya à prendre part à cette édition.
La dépêche de Kabylie

Le ministre du Travail l’a révélé hier à Boumerdès 29 walis n’appliquent pas les directives en faveur des microentreprises

Plus de 29 walis refusent d’appliquer la directive du président de la République qui consiste à attribuer des marchés à hauteur de 20% aux entreprises créées dans le cadre des dispositifs Ansej, Cnac et Angem. C’est ce qu’a laissé entendre le ministre du Travail, hier, lors d’une conférence de presse tenue au siège de la wilaya de Boumerdès. “Seules 19 wilayas, dont Boumerdès, ont appliqué les nouvelles dispositions du code des marchés publics du 18 janvier 2012 et ont déjà mis en exécution cette directive, alors que les autres ont émis des réserves bien qu’à mon avis, l’article 55 de ce décret est clair et ne souffre d’aucune ambigüité”, a affirmé M. Louh. Le ministre a révélé que le Premier ministre, M. Sellal, qui a été sensibilisé sur cette question, a instruit le ministre des Finances pour promulguer un texte d’application permettant de lever toute mauvaise interprétation des dispositions du nouveau code des marchés. 
Pourtant, la directive du président de la République reconvertie en un décret présidentiel portant le n°12-23 du 18 janvier 2012 est parfaitement claire. Cette dispositions stipule que “lorsque certains besoins des services contractants peuvent être satisfaits par des microentreprises, tels que définis par la législation et la réglementation en vigueur, les services contractants doivent, sauf exception dûment justifiée, leur réserver exclusivement et prioritairement  ces prestations. Les besoins précités peuvent faire l’objet, dans la limite de 20% au maximum de la commande publique, selon le cas, d’un cahier des charges distinct ou d’un lot dans un cahier des charges”. 
Reste à savoir pourquoi des walis refusent de le faire. Le ministre du Travail n’a pas manqué de faire l’éloge sur les entreprises créées dans le cadre de ces dispositifs et qui participent au développement de l’économie du pays. Il cite l’exemple de IT Solutions, une entreprise Ansej qu’il a visitée hier, qui est devenue un acteur incontournable des services IT en Algérie et qui a des marchés  avec des grandes entreprises privées et publiques, y compris avec le ministère de la Défense nationale. “Cette entreprise est un exemple parmi d’autres, c’est pourquoi nous tenons à les renforcer”, a-t-il indiqué. M. Louh a affirmé que plus de 75% des entreprises Ansej, Cnac et Angem continuent à rembourser régulièrement leurs crédits. Il a également fait part des efforts déployés par le gouvernement pour assurer une meilleure couverture sociale et sanitaire aux travailleurs actifs et aux retraités. “Souvenez-vous qu’en 1997, les caisses de la CNR étaient vides, alors qu’à présent, nous avons pu valoriser à plusieurs reprises les pensions de retraite.” Selon le ministre, l’incidence financière annuelle découlant de l’augmentation à hauteur de 11% des pensions de retraite a coûté à la CNR plus de  36 milliards de DA, soit 3 milliards de DA par mois, et a concerné plus de 2 183 447 retraités. 
À noter que lors de sa visite dans la wilaya de Boumerdès, le ministre s’est rendu aux sièges de la Cnas, de la CNR et de la Cacopbath et a visité plusieurs chantiers, notamment ceux de la Direction du travail et de l’Agence de l’emploi ainsi que deux microentreprises, l’une Ansej et l’autre Cnac.

Liberté

EMPLOI : Le gouvernement prépare une réforme de l’Ansej et de la Cnac

Le gouvernement entend inciter les jeunes à créer des entreprises dans le BTP et l’agriculture en leur accordant de nouveaux avantages dans le cadre d’une réforme des dispositifs d’aide à la création d’entreprises via les dispositifs Ansej et Cnac (Caisse nationale d'assurance chômage). « Aujourd’hui, toutes les activités financées dans le cadre des dispositifs Ansej et Cnac d’aide à la création d’entreprises par les jeunes bénéficient des mêmes avantages fiscaux et parafiscaux. Cela doit changer. Ceux qui créeront des entreprises dans des secteurs où il y a un déficit seront avantagés », affirme une source gouvernementale.La majorité des jeunes se sont rués vers des métiers faciles et rentables, comme la location de voitures et le transport de voyageurs. Résultat, l’Algérie s’est retrouvée sans main-d’œuvre qualifiée ni suffisamment d’entreprises dans le BTP et l’agriculture. « L’Algérie n’arrive pas à trouver des entreprises pour participer à la construction de logements. Beaucoup de projets peinent à trouver preneurs. Nous sommes obligés de faire appel aux étrangers, alors que nous faisons face au chômage massif des jeunes », ajoute la même source.Le gouvernement Sellal constate également que les aides massives de l’Etat pour permettre aux jeunes de créer des entreprises peinent à produire les effets attendus, notamment dans le BTP et l’agriculture, deux secteurs clés pour lutter contre le chômage et assurer la sécurité alimentaire du pays. Au contraire, la ruée vers la location de voitures a vidé les chantiers algériens de leur main-d’œuvre. « Les jeunes fuient le BTP et l’agriculture parce que ce sont des métiers réputés durs et peu rémunérateurs. Ils préfèrent la location de voitures, l’agence de communication ou le transport. Or, ces activités ne créent ni richesses ni emplois, comparativement au BTP et à l’agriculture », explique encore la même source.Parallèlement à la réforme des dispositifs d’aide à la création d’entreprises, le gouvernement s’attelle à modifier les programmes de formation professionnelle, pour mieux les adapter à la demande nationale. « Nous devons former des jeunes dans des secteurs où nous avons un déficit en main-d’œuvre qualifiée, comme le BTP et l’agriculture, et qui doivent être opérationnels dès la fin de leur formation », estime notre source.                                         

Réflexion

Ansej de Tamanrasset Journée d’étude sur le financement des nouveaux projets

L’approbation du plan des projets éligibles au financement  dans le cadre du dispositif de soutien à l’emploi des jeunes a été  à l’ordre du jour de la journée d’étude organisée, dernièrement, par l’Ansej de Tamanrasset au siège de l’APW.  Le plan, explique  le directeur de l’agence, Camio Slimane, en marge de la manifestation, comprend des recommandations et des propositions spécifiques à chaque commune de cette wilaya-continent. L’initiative, qui vient en application des instructions  que le  ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, avait données lors de sa visite de travail et d’inspection effectuée dans la wilaya  en avril dernier,  s’inscrit dans la perspective de réaliser l’équilibre  entre toutes les collectivités  en matière de projets financés et des éligibilités accordés”. A ce titre M. Camio a, en présence du wali, des PAPC des dix communes de la wilaya et des directeurs de différents secteurs d’activité, souligné que des accords de coopération ont été conclus entre l’Ansej et les municipalités à l’effet de parvenir à l’élaboration d’un plan type des projets susceptibles  de remettre la locomotive de développement sur les rails, notamment dans les contrées lointaines, à l'instar de Tine-Zaouatine, In-Guezzam et Silet, sises respectivement à 500, 450 et 130 km de Tamanrasset. Les édiles municipaux ont donc établi une liste détaillée des projets suivant les besoins réels de leur commune et la nature des activités qui y sont répandues avec pour but d’éviter aux promoteurs de se perdre dans le cercle des activités saturées, mais aussi de rentabiliser le projet en arrivant à pallier le manque signalé. Le  plan contient ainsi toutes les procédures réglementaires à suivre, par secteur et selon les besoins émis, pour obtenir le certificat d’éligibilité de l’activité demandée  avant de soumettre le dossier du projet à la commission de l’Ansej pour l’approbation. à ce propos, on a mis l’accent sur le rôle prépondérant  des banques.  Les   représentants des   établissements financiers ayant pris part à cette rencontre, en l’occurrence la BDL, la BNA et la BADR, tout en expliquant les nouvelles prérogatives qui leur sont accordées  et leur autonomie dans la prise de décision  au niveau local et sans passer , comme auparavant, par les directions régionales,  se sont engagés à financer tous les projets avalisés par la commission de l’agence.  En définitive, les organisateurs ont insisté sur la nécessité de promouvoir, cette année, les activités agricoles et touristiques.  En moyenne, la mise en œuvre de ce plan permettra de concrétiser jusqu’à 100 nouveaux projets par an, soutient encore M. Camio, en comptant sur le précieux concours des  autorités locales.
Liberté

Les images de la télévision marquent un tournant dans la gestion médiatique de la maladie du président


Absent des écrans depuis son hospitalisation, le président Bouteflika est apparu à la télévision nationale qui a montré des images de la rencontre qu’il a eu mardi, dans sa résidence de convalescence à Paris avec le Premier ministre, Abdélmalek Sellal et le chef d’état major de l’ANP, le générél Ahmed Gaid Salah. Ces images, quoique muettes, apportent une information de taille, à savoir que le président Bouteflika est vivant, qu’il est, en plus, loin de l’état de dégradation décrit par certains journaux nationaux et étrangers sans doute intoxiqués par des « gorges profondes » indignes de foi.
Il est vrai cependant que le président Bouteflika n’est pas apparu dans une forme fringante. On ne l’a pas vu en position debout, il avait des gestes lents et une partie du visage sans mouvement. C’est la conséquence de l’AVC dont les séquelles vont disparaitre à l’issue de la période de réadaptation. La diffusion des images, d’abord par l’APS, puis par la télévision dès 17 heures est une opération média plutôt réussie qui vient clore la longue parenthèse d’un bricolage d’amateurs en matière de communication sur la santé du président Bouteflika. Bricolage, en dépit de la bonne foi de ses auteurs, qui n’a fait que nourrir le doute et les suspicions à la fois des citoyens et des observateurs.
De ce point de vue, les images diffusées aujourd’hui marquent un véritable tournant dans la gestion de l’affaire de l’hospitalisation du président. D’abord par le fait qu’elles vont certainement contribuer à dépolluer le climat général du pays que les rumeurs et autres « analyses d’experts » ont lourdement lesté. En un mot, à faire baisser la tension. Ensuite ces images permettront d’ouvrir une perspective politique pour les semaines qui viennent, alors que jusque-là le pays avait en quelque sorte la tête dans le sac depuis le départ du président à l’hôpital du Val-De-Grâce.
En effet, la rencontre entre le président Bouteflika et Abdelmalek Sellal a été aussi l’occasion de poser les jalons d’un agenda politique. On sait que le président a chargé son premier ministre de préparer la matière pour un prochain Conseil des ministres. En particulier l’avant projet de loi de finances complémentaire qui prendra en charge les nouvelles dépenses urgentes et imprévues de 2013, entre autres le financement des préparatifs de l’organisation de la manifestation culturelle “Constantine capitale de la culture arabe” pour 2015. D’autres projets de loi , dont l’intitulé n’est pas révélé, seront également préparés par Sellal qui doit boucler son « menu » avant la tenue du prochain Conseil des ministères qui sera , pour le coup, l’occasion d’un retour du président à l’exercice normal de ses fonctions. Au moins pour aller au terme de son mandat.
Algérie1

Bouteflika en vidéo sur l'ENTV

La télévision algerienne a montré les premières images du Prséident Bouteflika, recevant le premier ministre Sellal et le chef d'état major, Gaid Salah

EL WATAN

L’artiste franco-algérien Neil Belloufa à la biennale de Venise des arts contemporains


L’artiste franco-algérien Neil Belloufa expose actuellement ses œuvres en Italie, à la biennale de Venise des arts contemporains 2013, inscrite dans le cadre de la 55e exposition des arts internationaux qui se poursuit jusqu’au 24 novembre prochain, peut-on lire sur le site électronique de la biennale.
Placée sous le thème d’ "Il palazzo enciclopedico" (La place encyclopédique), la biennale accueille près de 90 artistes italiens et plus de 150 autres représentants 37 pays.
Nael Belloufa participe avec "Kempinski", une vidéo scientifique de fiction tournée en 2007 au Mali relatant, en 14 minutes, "la vie élémentaire d’un groupe de jeunes, établis quelque part au Mali qui évoquent leur quotidien et expriment leur vision du futur et leurs souhaits quant à l’avenir dans le monde".
Cette vidéo-documentaire éponyme d’un lieu au Mali, tournée dans une ambiance nocturne met en valeur la fascination des jeunes maliens à la lumière émise par les lampadaires symbolisant, selon eux, "Le monde de demain qui sera caractérisé par la vitesse et la magie de l’énergie lumineuse".
Fondé en 1895, la biennale de Venise, considérée comme la plus grande manifestation internationale de l’art contemporain regroupant l’art, l’architecture, le cinéma ( Festival international du cinéma de Venise), la danse, la musique et le théâtre, vise à "promouvoir les nouvelles orientations artistiques et l’organisation de manifestations internationales des arts contemporains", indiquent les organisateurs.
Né en 1985 à Paris, Nael Belloufa, diplômé de l’Ecole supérieure des beaux-arts et l’Ecole française supérieure des arts décoratifs, a exposé ses œuvres regroupant la vidéo, la sculpture, et les travaux de composition dans plusieurs pays outre la France dont l’Allemagne, l’Autriche, la Hollande et les USA.
APS

Sellal à l’APS : "Nous avons présenté un point de situation général sur le pays au président Bouteflika"


PARIS- Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a indiqué mardi à l’APS (...)
avoir présenté, en compagnie du chef d’état-major de l’ANP, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, "un point de situation général sur le pays, au président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, qui se remet de son AVC".
Au cours d’une rencontre avec le chef de l’Etat, mardi après-midi à l’hôpital des Invalides (Paris), "qui a duré près de deux heures", les deux hauts responsables lui ont exposé la situation générale qui prévaut dans le pays, tant au plan des activités gouvernementales, que sur la situation politique et sécuritaire, a précisé M. Sellal.
Le président Bouteflika "a très bien réagi et son état de santé semble correct", a-t-il affirmé, précisant que le chef de l’Etat "a donné des instructions et des orientations" dans "tous les domaines d’activités", notamment en ce qui concerne les préparatifs liés à l’approvisionnement des marchés durant le prochain mois de ramadhan.
M. Sellal a tenu à rassurer sur l’état de santé du président de la République qu’il a trouvé, a-t-il dit, "en bonne santé", bien qu’il soit "toujours en convalescence".
Le Premier ministre a annoncé à l’APS qu’il reviendra sur les détails de cette rencontre, "dès demain" mercredi.
APS

Création d’entreprises : renforcement des mécanismes d’accompagnement des jeunes


Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, a indiqué mardi à Boumerdès que l’Etat s’attellera, à l’avenir, au renforcement des mécanismes d’accompagnement des jeunes promoteurs bénéficiant d’aides au titre des dispositifs de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) et de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC) pour la création de micro entreprises.
"Une réflexion est en cours sur les meilleurs moyens susceptibles de permettre un accompagnement permanent des jeunes bénéficiaires d’aides, notamment les promoteurs d’entreprises à caractère industriel, ou spécialisées en marketing", a assuré M. Louh en marge d’une visite d’inspection de nombreux projets de son secteur dans la wilaya.
Le ministre a expliqué que cette mesure, qui s’appuie sur une coordination multisectorielle et un dialogue entre les différents partenaires économiques, vise à "garantir une pérennité aux micro entreprises à potentiel concurrentiel, au double plan interne et externe", dans un monde économique "ouvert, en constante mutation et dominé par la crise".
Soulignant les efforts consentis ces dernières années dans l’édification de l’économie nationale, la création de la richesse par le soutien de l’investissement et la réalisation d’infrastructures de base, M. Louh a estimé que la concrétisation de ces réalisations obéit à un objectif de "consécration d’une économie forte et concurrentielle."
"Ces dix dernières années furent exploitées par l’Etat pour mener une politique économique globale qui lui a permis de préserver des postes de travail, tout en offrant l’opportunité à l’investissement créateur de nouveaux emplois", a rappelé M. Louh.
Le ministre s’est rendu aux agences locales de la CNAS et de la Caisse nationale des retraites (CNR), où il a inspecté différents services en s’informant de leurs conditions de travail, avant d’inspecter le chantier du nouveau siège de la direction de l’Emploi et la pose de la première pierre pour la réalisation du siège de l’Agence de l’Emploi de la wilaya.
Il a aussi effectué une halte au niveau d’une crèche et d’une micro entreprise, réalisées au titre des dispositifs de soutien à l’emploi des jeunes.
APS