Ce plan de développement, mis sur pied en concert avec les opérateurs du secteur, la chambre agricole et les différents instituts spécialisés, a pour objectif essentiel de prémunir le secteur de l’impact négatif des aléas climatiques, principalement en période de forte sécheresse et à encourager l’élevage "hors sol", de manière à réduire les effets d’un éventuel stress hydrique prolongé, a-t-on indiqué.
La démarche préconisée par les responsables du secteur agricole s’articule sur deux axes d’intervention majeurs, à savoir la mise en place d’un contrat d’activité agricole, à travers lequel le producteur s’engage à réaliser un quota défini dans le document contractuel.
Ce dernier a pour avantage, selon la même source, d’assurer un débouché commercial au produit local, permettre également aux unités d’abattage et de conditionnement de fonctionner à "plein régime", et de garantir l’approvisionnement régulier du marché, local ou national, en quantité suffisante de viande blanche.
Le deuxième axe d’intervention porte sur la modernisation de l’outil de production et la création de complexes avicoles susceptibles de stimuler la dynamique que connaît ce segment d’activité agricole, a-t-on fait savoir, précisant que les efforts entrepris dans cette optique, depuis quelques temps, vont être couronnés par la mise en exploitation prochaine de quatre importants complexes avicoles, implantés dans les communes de Sidi-Naamane, Berrouaghia et Ain-Boucif.
Les responsables de la direction des services agricoles espèrent multiplier, d’ici 2019, le nombre de complexes avicoles, en le portant à seize (16) unités, avec en perspective une production globale d’environ 400.000 quintaux de viande blanche, soit le double de la production obtenue durant l’exercice 2013-2014, a-t-on noté.
APS
La démarche préconisée par les responsables du secteur agricole s’articule sur deux axes d’intervention majeurs, à savoir la mise en place d’un contrat d’activité agricole, à travers lequel le producteur s’engage à réaliser un quota défini dans le document contractuel.
Ce dernier a pour avantage, selon la même source, d’assurer un débouché commercial au produit local, permettre également aux unités d’abattage et de conditionnement de fonctionner à "plein régime", et de garantir l’approvisionnement régulier du marché, local ou national, en quantité suffisante de viande blanche.
Le deuxième axe d’intervention porte sur la modernisation de l’outil de production et la création de complexes avicoles susceptibles de stimuler la dynamique que connaît ce segment d’activité agricole, a-t-on fait savoir, précisant que les efforts entrepris dans cette optique, depuis quelques temps, vont être couronnés par la mise en exploitation prochaine de quatre importants complexes avicoles, implantés dans les communes de Sidi-Naamane, Berrouaghia et Ain-Boucif.
Les responsables de la direction des services agricoles espèrent multiplier, d’ici 2019, le nombre de complexes avicoles, en le portant à seize (16) unités, avec en perspective une production globale d’environ 400.000 quintaux de viande blanche, soit le double de la production obtenue durant l’exercice 2013-2014, a-t-on noté.
APS
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