dimanche 20 avril 2014

OUARGLA : VERS L’OUVERTURE DE QUATRE MARCHES COUVERTS


Quatre marchés couverts seront ouverts, à travers la wilaya de Ouargla, avant la fin de l’année 2014, a-t-on appris lundi auprès de la direction locale du Commerce.
l’opération entre dans le cadre d’un programme visant à réaliser des espaces commerciaux au niveau des pôles urbains, à créer des emplois et à lutter contre le commerce informel, a-t-on souligné.
Ces futures installations, qui s’étendent sur une superficie de 600 m2 chacun, sont projetées dans les communes de Ouargla, Ain El-Beida, Nezla et Touggourt, et disposent de 40 locaux commerciaux chacun, destinés à la commercialisation des fruits et légumes, et des viandes, a-t-on précisé.
Une enveloppe de 205 millions DA a été réservée à la réalisation de ces espaces commerciaux, dont les travaux, lancés en mars 2013, ont été confiés à la Société nationale de construction des structures métalliques "Batimétal", a-t-on fait savoir.
La wilaya de Ouargla compte dix marchés couverts de proximité, dont sept opérationnels et trois à être attribués très prochainement par les services communaux concernées, a-t-on ajouté.
Une enveloppe de 2,1 milliards DA a été consacrée, par ailleurs, à la réalisation d’un projet de marché régional de gros, spécialisé dans le commerce des fruits et légumes, et couvrant une surface de 20 hectares, au niveau de la zone d’activité de la commune d’Ain El-Beida, a-t-on indiqué.
Cette structure, livrable dans un délai de 30 mois et qui dispose de deux entrepôts, d’un bloc administratif et d’un espace vert, permettra de générer 2.600 emplois, dont 66 pour les services administratifs, 943 directs et 1.600 indirects, a-t-on signalé à la direction du Commerce.
Une initiative a été également lancée par les services de la wilaya au profit de quelque 400 jeunes chômeurs désireux d’investir dans de petites activités commerciales (vente de thé, fruits, légumes et autres), en leur consacrant de petits kiosques à travers différents quartiers de la wilaya, selon la même source.

APS

AIN TEMOUCHENT : UN APPORT SUPPLEMENTAIRE DE 600 TONNES/AN... DE POISSONS POUR LE PROJET D’EXTENSION DE LA FERME AQUACOLE DE SBIAAT


Un apport supplémentaire de 600 tonnes/an de poissons est attendu du projet d’extension en mer de la ferme aquacole "AQUASOL" de Sbiâat dans la wilaya d’Ain Temouchent, apprend-on lundi auprès de la direction de la Pêche et des Ressources halieutiques.
Ce projet, dont l’étude est très avancée, repose sur l’installation de 24 cages flottantes pour le grossissement, d’un diamètre de 22 mètres sur une profondeur de 12 m, totalisant un volume exploitable de 3.800 mètres cubes au niveau d’un site de 12 hectares proche de Cap Figalo, a-t-on indiqué.
Les espèces d’élevage ciblées par ce projet sont le bar (60 % de la production), la daurade (37 %) et le maigre (3 %), ce qui permettra à la ferme "AQUASOL" d’atteindre une production globale (entre terre et mer) de l’ordre de 1.600 tonnes/an, a-t-on ajouté.
La durée d’engraissement en mer des poissons pour atteindre un poids marchand entre 300 et 350 grammes varie entre 13 et 15 mois pour le bar et 11 et 13 mois pour la daurade. Cette période varie entre 15 et 17 mois pour un maigre pesant un kilogramme, a-t-on expliqué.
Entrée en exploitation en 2013 avec une production de 300 tonnes/an, la ferme "AQUASOL" est la première du genre au niveau national. La progression de sa production passera à 700 tonnes/an cette année à 1.200 tonnes/an en 2015 et 1.600 tonnes/an en 2016, a-t-on rappelé.
Implantée sur une superficie de 3,5 ha, elle se spécialise dans l’engraissement du loup de mer, de la daurade et du maigre, aux côtés de son écloserie qui produira quatre millions d’alevins/an.

BORDJ BOU ARRERID : :DES PROJETS POUR ETOFFER L’OFFRE EN FONCIER INDUSTRIEL



L’offre en foncier industriel est appelée à s’étoffer ‘’bientôt’’ dans la wilaya de Bordj Bou Arreridj à la faveur de projets de création de plusieurs zones industries et d’activités, a-t-on appris, mercredi, auprès de la direction concernée.
Deux zones industrielles nouvelles, en cours d’aménagement à Mechta Fatima (382 hectares) et à Ras El-Oued (134 hectares), permettront d’ouvrir des horizons nouveaux pour l’investissement, la multiplication du nombre de PME actives et l’absorption du chômage, a estimé la même source.
Aménagée à 95 %, la zone industrielle du chef-lieu de wilaya qui accueille, sur 179 hectares, 88 entreprises dont trois en phase de création, a bénéficié d’une opération d’extension portant sur l’aménagement de 74 nouveaux hectares, a encore indiqué la même source.
La wilaya de Bordj Bou Arreridj compte également dix (10) zones d’activités totalisant 104,5 hectares, a-t-on également rappelé.

APS

CONSTANTINE :REHABILITATION DU PONT ROMAIN


Les travaux de réhabilitation du pont de pierre connu sous l’appellation de "pont Romain", situé boulevard de la Soummam à Constantine, et qui s’est effondré durant l’hiver 2005, viennent d’être lancés, a-t-on constaté samedi.
Selon le directeur des travaux publics (DTP), Djamel-Eddine Bouhamed, l’ action de réhabilitation, inscrite dans le cadre du programme d’accompagnement relatifs aux projets de la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe", a été confiée à la Société algérienne des ponts et travaux d’art (SAPTA) en coordination avec un expert italien spécialisé dans ce type d’ouvrages anciens.
La réhabilitation du pont Romain comprendra, entre autres, la reprise "à l’identique" des deux arches en pierre bleue qui avaient ont cédé en 2005’’ ainsi que la "consolidation de l’ensemble de l’ouvrage", le tout au bout d’un délai de dix mois moyennant une enveloppe de 250 millions de dinars, ,a précisé le responsable.
Ce pont-passerelle traverse le Rhumel pour relier le boulevard de la Soummam à la route nationale (RN) n°79, juste à proximité du siège du Centre d’études et de réalisations en urbanisme de Constantine,(URBACO, non loin de l’université Mentouri.
C’était un passage "stratégique" pour les piétons, notamment pour les étudiants venant de la cité Kouhil-Lakhdar (Djenane Ezzitoune) et se dirigeant vers l’université.
Contrairement au nom que lui ont donné les constantinois, cet ouvrage ne date pas de l’époque romaine dès lors qu’il a été construit durant l’époque coloniale.
Il devait recevoir la ligne de chemin de fer reliant Constantine à Guelma, avant d’être transformé en passerelle pour piétons après la suppression de cette ligne ferroviaire, a souligné le DTP.
Fragilisé au fil des ans, ce pont, en particulier deux de ses arches, n’a pas résisté aux violentes chutes de pluie qui s étaient abattues sur la ville de Constantine durant l’hiver de 2005.

APS

KHENCHELA : LES PROJETS D’AMENAGEMENT URBAIN DE 76 QUARTIERS DE KHENCHELA RECEPTIONNES

Plusieurs projets portant sur l’aménagement urbain de 76 quartiers, inscrits au bénéfice de la wilaya de Khenchela en 2013, viennent d’être réceptionnés, a-t-on appris, mercredi, auprès de la direction de l’urbanisme, de l’architecture et de la construction (DUAC).
Les actions entreprises pour un coût de 1,55 milliard de dinars ont notamment porté sur le bitumage des chaussées, la réfection de l’éclairage public, la réhabilitation des trottoirs, la création d’espaces verts et le ravalement de nombreuses façades d’immeubles, a-tr-on indiqué.
L’année précédente (2012), les opérations d’aménagement urbain inscrites dans le cadre des programmes sectoriels décentralisés (PSD), avaient une centaine de cités réparties sur plusieurs communes de la wilaya de Khenchela, a-t-on rappelé.
Pour l’exercice en cours, cette wilaya a bénéficié, ,au titre des programmes communaux de développement (PCD), de 13 actions similaires ciblant en particulier les communes de Kaïs, d’Ouled Rechache, d’El Mahmel, de Chechar et d’Ain Touila, selon la même source.

APS

TIPASA : 84 MDS DE DA POUR LE SECTEUR DES TRAVAUX PUBLICS EN 15 ANS

Une enveloppe globale de 84 milliards de DA a été allouée au secteur des Travaux publics de Tipasa durant ces 15 dernières années, selon un bilan d’activités de la direction du secteur.
Outre sa contribution dans la relance de la dynamique sociale et économique au niveau de la wilaya, ce montant a servi au désenclavement d’un grand nombre de régions et, partant, à l’amélioration du cadre de vie de leurs populations, ont estimé les rédacteurs de ce rapport.
Quelque 138 projets routiers ont été concrétisés dans la wilaya à la période indiquée, dont la rocade autoroutière Zeralda (Alger)-Cherchell (Tipasa), sur une distance de 68 km, outre l’aménagement de 100 km de routes de montagnes, et la réalisation d’un réseau global de 230 km de routes communales, 20 km de chemins de wilaya et 20 km de routes nationales, est-il rapporté dans ce bilan.
Selon le document, les trois (3) programmes quinquennaux écoulés ont également englobé la réfection de 151 km de routes nationales, 162 km routes de wilayas et 283 routes communales, en vue de la "mise en place d’un réseau routier apte à relier toutes les régions de la wilaya entres elles, et d’y créer une véritable dynamique économique".
Actuellement la wilaya de Tipasa est traversée par un réseau routier de 1421 km de long, dont 903 km de routes communales, 262 km de chemins de wilaya, 248 km de routes nationales et 68 km d’autoroute.
En outre, 52 projets routiers sont actuellement en chantier, au titre du quinquennat 2009-2014, dans l’attente du lancement d’autres projets d’envergure, dans le cadre de prochains programmes, dont notamment le projet de l’évitement (17 km) de la ville Cherchell, et le projet de la route devant relier la rocade Zeralda-Cherchell à l’autoroute Est-ouest, au niveau de la région d’Oued Djer, à Ain Defla.

APS

BLIDA : LES CET DE BLIDA SE LANCE DANS LE RECYCLAGE DE L’ALUMINIUM


L’entreprise publique de gestion des centres d’enfouissement technique de Blida s’est lancée, dernièrement, dans le recyclage des déchets d’aluminium collectés auprès des unités industrielles de la région, a-t-on appris mercredi auprès du responsable de cette structure.
"Cette initiative fait suite au succès enregistré précédemment par l’entreprise dans le recyclage des déchets du plastique et du carton, voire même des déchets spéciaux (hospitaliers), dont l’opération lui a généré des gains estimés à 32 millions de DA l’année dernière", a indiqué à l’APS M. Kara Smail.
Il a signalé la vente par son entreprise, depuis près de deux (2) mois, date du lancement de l’opération, de plus de quatre (4) tonnes d’aluminium recyclé.
"C’est un moyen supplémentaire pour nous pour augmenter les revenus de l’entreprise, ceci d’autant plus que la wilaya dispose d’un grand nombre d’unités industrielles activant dans le créneau de l’aluminium", a-t-il souligné.
Afin de soutenir davantage cette option, une action de sensibilisation a été lancée en direction des entreprises industrielles de la wilaya pour les inciter à vendre leurs déchets (d’aluminium), ou à acquérir de l’aluminium recyclé pour les autres entreprises, qui l’exploitent dans la confection de leurs produits industriels, a observé la même source.
L’entreprise publique de gestion des centres d’enfouissement technique (CET) de Blida est actuellement chargée de la gestion de cinq (5) CET, dont trois (3) spécialisées dans les déchets ménagers et deux (2) dans les déchets solides.

APS

Abdelaziz Bouteflika réélu président de la République pour un 4ème mandat : Les 14 mesures de Bouteflika pour les Algériens à l'étranger


Abdelaziz Bouteflika réélu président de la République pour un 4ème mandat

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été réélu pour un quatrième mandat avec un taux de 81,53% (8.332.598 voix), a annoncé vendredi le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz.
Il est suivi de Ali Benflis (12,18%, soit 1.244.918 voix) ), de Abdelaziz Belaid (3,36%, soit 343.624voix), Louisa Hanoune (1,37, soit 140.253 voix), de Ali Fawzi Rebaine (0,99%, soit 101.046) et de Moussa Touati (0,56%, soit 57.590 voix).

APS

Les 14 mesures de Bouteflika pour les Algériens à l'étranger : Jeunes compétences : accès au dispositif ANSEJ, Baisse des prix des billets d'avion,Ouverture de succursales de banques algériennes, logement....

1. Accès au logement public en AlgérieAvant la fin 2014 deux formules pour l'accès au logement public en Algérie. La première formule dite d'accès au logement public unique (LPU) bénéficiera du soutien de l'Etat (prix du foncier, plafonnement des marges...) au profit de ceux qui souhaitent acquérir un bien immobilier pour y résider.
La deuxième formule concerne l'accès à des programmes immobiliers libres pour ceux qui désirent investir dans un bien pour le louer ou le revendre. Cette formule est destinée à contribuer à orienter l'excès d'épargne des résidents à l'étranger vers la dynamisation du marché immobilier en Algérie.
 
2. Garantie obsèques/rapatriement
Première mesure : élargissement des points de souscription de l'assurance rapatriement au niveau des consulats couplée avec la carte consulaire. Deuxième mesure : prise en charge par l'Etat de la prime d'assurance au profit de démunis (sous conditions de ressources).
 
3. Jeunes compétences : accès au dispositif ANSEJ
Les jeunes compétences issues de l'immigration accèderont dès janvier 2015 au dispositif de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (ANSEJ) dans le cadre de l'entreprenariat autonome. La condition de résidence pour bénéficier du dispositif sera ainsi modifiée dans le cadre de la loi de finances pour 2015 afin de permettre à tous les concitoyens détenteurs d'un savoir-faire de créer leurs entreprises en Algérie dans le domaine productif ou des services. Le dispositif ANSEJ offrira une aide financière jusqu'à 10 millions de dinars (environ 95.000 euros) aux jeunes issus de l'immigration et qui ont gardé une attache avec le pays d'origine.
 
4. Ouverture de succursales de banques algériennes
Afin de faciliter la gestion de l'épargne de nos concitoyens résidant à l'étranger (transfert d'argent, crédit bancaire, investissement boursier en Algérie...), nous préparerons les conditions pour l'ouverture à court terme de succursales de banques publiques algériennes dans des pays à forte présence de la communauté algérienne établie à l'étranger, en particulier en France... Par ailleurs, ce dispositif profitera également aux entrepreneurs algériens en quête de croissance et de transfert technologique au profit du pays.
 
5. Baisse des prix des billets d'avion
Avec l'important renforcement de la flotte d'Air Algérie en 2015, notre pays sera capable de supporter une plus grande ouverture du ciel qui induira une plus grande concurrence entre les compagnies aériennes synonyme de baisse des prix des billets d'avion.
Nous conditionnerons désormais les autorisations de vols supplémentaires au profit des compagnies aériennes opérant vers l'Algérie, par la mise en place d'un quota conséquent de sièges avec des réductions familles et 3ème âge, notamment durant la haute saison.
Enfin, nous créerons les moyens d'émergence de la première expérience en Algérie de compagnie
low coast de droit algérien afin de proposer, toute l'année, des tarifs abordables.
 
6. Augmentation de l'offre transport maritime
Nous renforcerons les capacités de la compagnie ENTMV afin qu'elle augmente son offre et améliore ses prestations.
Augmentation de l'offre et des rotations avec les grands ports français et baisse des prix, en particulier en faveur des familles, y compris en été.
 
7. Maison de retraite, accueil 3ème âge
Nous offrirons toutes les facilités (accès au foncier, financement bancaire...) aux opérateurs disposant du savoir-faire désirant investir dans des structures spécialisées d'accueil de retaités en Algérie.
Nos concitoyens non-résidents pourront ainsi disposer de structures spécialisées et médicalisées dans leur pays d'origine tout en profitant pleinement du magnifique cadre de vie algérien.
 
8. Bourse aux stages
Nous mettrons en place avant la fin 2014 une bourse dématérialisée de stages professionnels dans des entreprises et institutions en Algérie au profit de jeunes diplômés de la communauté afin qu'ils puissent entamer une expérience dans la vie active. Ces stages seront des tremplins pour des emplois durables pour ceux qui souhaitent exercer durablement en Algérie.
 
9. Professionnels en médecine : offre d'un pacte de compétence
Dans le cadre de la construction de grands centres hospitaliers en Algérie et dont la gestion sera aux normes européennes, le système de santé a besoin de compétences parmi les professionnels en médecine établis et désirant retourner, définitivement ou pour un temps, exercer en Algérie.
Ces compétences seront gérées directement par le ou les titulaire (s) du contrat de management des futurs hôpitaux.
 
10. Encouragement du mouvement associatif
Nous allons encourager davantage le mouvement associatif activant dans les pays hôtes afin de : renforcer les liens avec le pays d'origine ; aider au retour des compétences au pays ; accroître l'investissement productif pour réduire les importations, contribuer au transfert technologique et du savoir-faire.
 
11. Accès des entreprises détenues par des Algériens aux marchés publics en Algérie
Nous mettrons en place pour 2015 un dispositif d'accès des entreprises détenues par des Algériens aux marchés publics en Algérie. Cet accès vise notamment : à faire bénéficier notre communauté de la croissance dans le cadre de l'effort de construction d'une économie forte ; le transfert technologique et de savoir-faire ; la réduction du transfert de devises.
 
12. Remise en place de colonies de vacances au pays
L'organisation de ces colonies dès 2015 sera confiée à des partenaires conventionnés. L'Etat pourra contribuer financièrement en prenant en charge une partie des frais de séjour (sous conditions de ressources des parents).
 
13. Amélioration des conditions d'accueil au niveau des consulats
Nous mettrons en place un programme d'urgence afin d'augmenter rapidement les capacités d'accueil et d'amélioration de service au niveau des grands consulats.
Ce programme se traduira notamment par : le réaménagement des locaux ; l'acquisition de nouveaux locaux ; le renforcement en moyens humains par le recrutement de compétences locales ; la révision de toutes les procédures en vigueur dans le but d'éliminer la bureaucratie.
 
14. Mise en place d'une aide juridique étendue
Nous mettrons en place au courant de l'année 2015 un dispositif gratuit d'aide juridique étendue autour des postes consulaires avec la collaboration d'associations activant dans l'intérêt de notre communauté.
 

 
PROGRAMME DU PRESIDENT ABDELAZIZ BOUTEFLIKA élection présidentielle du 17 avril
Source site officiel du Président Abdelaziz Bouteflika
 

Maison de l'Algérie : A l'attention de Monsieur le Président Abdelaziz Bouteflika





Monsieur le Président,

A l’occasion de votre réélection, je tiens à vous adresser mes chaleureuses félicitations et mes vœux les plus sincères de réussite pour la haute mission que vous allez conduire au service de notre pays l’Algérie.

Je suis persuadé que vous saurez contribuer avec énergie au rayonnement de la jeunesse des deux rives (France- Algérie) et je forme le vœu que, sous votre impulsion, la confiance et l’amitié qui caractérisent la relation Franco-algérienne  continuent à se développer.

La période qui s’ouvre devant nous est riche de promesses pour la communauté algérienne résidant à l’étranger  comme pour son implication au développement économique et social de son pays natal. Je suis convaincu que votre programme ambitieux (2014-2019) au profit de la communauté algérienne sera suivi de près sur le terrain (France) et que la promotion de votre programme : http://maisondelalgerie-blog.blogspot.fr/2014/04/les-14-mesures-de-bouteflika-pour-les.html au sein des institutions algériennes (Ambassade et consulats) sera à la hauteur de vos espérances.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.


 
Longue vie à notre Algérie forte et prospère

Un pont entre deux cultures, un regard vers l'avenir bâtissons ensemble "Maison de l'Algérie"

Naima Iratni
Présidente "Maison de l'Algérie "

mercredi 16 avril 2014

CALPIREF : PRES DE 350 DOSSIERS RETENUS


Au total, 349 dossiers d’investissement ont été retenus par le comité d’assistance à la localisation et à la promotion des investissements et de la régularisation foncière (CALPIREF) de la wilaya d’Oran, depuis sa création en 2011, a-t-on appris auprès du Directeur de l’industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement.
"Par branche d’activités, le nombre de dossiers avalisés est de 258, en dehors du secteur de la promotion immobilière qui égalise le secteur industriel avec 90 projets", a révélé Abderrahmane Khaldoun, qui fait état d’un seul projet ayant eu un accord de principe.
Le montant de l’investissement de ces projets devant engendrer quelque 19.185 emplois, est de plus de 445 milliards de DA, Le secteur industriel, regroupant les activités agro-alimentaires, les ISMME, l’industrie pharmaceutique, la chimie et plastique, l’industrie diverse et de textile, est représenté par 90 projets devant engendrer 164.003 emplois.
Dans le détails, par branches d’activités, 22 dossiers ont été avalisés dans l’industrie agro-alimentaire devant créer 1140 emplois, 21 dossiers dans les ISMME (4152 emplois), 12 dans l’industrie pharmaceutique (794 emplois), 17 dans la chimie et plastique (1060 emplois), 4 dans l’industrie du textile (459 emplois) et 14 dans des industries diverses (162857 emplois), note-t- on de même source.
Ces activités sont suivies par le secteur du tourisme, selon un état des projets examinés par le CALPIREF qui fait cas de 35 dossiers retenus, devant créer 4.960 emplois pour un montant d’investissements de plus de 32, 5 milliards de DA.

APS

JIJEL : COMPLEXE DE BELLARA : LE B.E CONNU EN MAI


Le nom du bureau d’études devant être chargé de l’engineering, du conseil et de l’accompagnement du groupe Qatar Steel International pour la réalisation du complexe sidérurgique de Bellara (Jijel) sera connu le mois de mai prochain, a-t-on, appris mardi auprès des services de la wilaya.
La structure servira de "conseil et d’accompagnateur" dans les procédures préalables au lancement des travaux du complexe sidérurgique "en janvier 2015", a souligné la même source.
L’annonce a été faite, a-t-on indiqué, lors d’une réunion de travail tenue il y a quelques jours au siège de la wilaya sous la présidence du wali, Ali Bedrici, en présence de M. Hasnaoui Chihoub, président-directeur général (P-dg) du groupe SIDER et président du conseil d’administration de la société Algerian-Qatar-Steel (AQS), du P-dg de cette dernière société, Abdellah Boulaynine et des directeurs de wilaya concernés par le projet.
Le premier volet examiné avait trait à l’emploi et à la formation. Un comité a été mis en place composé d’AQS, des secteurs de l’emploi et de la formation professionnelle qui travailleront avec le bureau d’engineering pour établir le programme de management destiné à déterminer et à quantifier les catégories à recruter et à former.
Selon le directeur de l’emploi, 28.000 demandes d’emploi sont enregistrées dans la wilaya, dont près de 10.000 émanent de diplômés de la formation professionnelle et 9.000 de diplômés universitaires. Algerian-Qatar-Steel va puiser dans cette ressource humaine (ouvriers, techniciens et ingénieurs) destinés au futur complexe sidérurgique, a-t-on affirmé.
Selon les services de la wilaya, le chef de l’exécutif local a insisté pour que la priorité soit accordée aux demandeurs "issus de la wilaya de Jijel" pour le recrutement et la formation, précisant que l’apport extérieur ne sera réservé qu’aux "spécialités non disponibles localement".
Par ailleurs, et pour faire face au besoin important du complexe sidérurgique en matière d’espaces dans l’enceinte portuaire de Djendjen, une concession sera octroyée à la société AQS, en plus de la future extension du port.
A ce titre, le P-dg de l’entreprise portuaire de Djendjen a invité AQS à introduire une demande de concession d’espaces au sein de cette infrastructure portuaire.
S’agissant de l’acheminement des matières premières nécessaires au fonctionnement du complexe, un projet de doublement et de modernisation de la voie ferrée Djendjen-Bellara a été décidé et confié au bureau d’études spécialisé SETIRAIL pour les études et à INFRARAIL pour la réalisation des travaux qui doivent s’achever "avant la fin de l’année 2016, date d’entrée en production du complexe qui aura également besoin de grandes quantités d’eau qui proviendront du barrage de Boussiaba (El Milia) à raison de vingt (20) millions de m3 par an".
Les besoins en énergie du complexe sidérurgique seront "largement satisfaits" par la centrale électrique en réalisation sur le site, alors que son alimentation en gaz nécessite d’autres travaux qui seront pris en charge par le groupe Sonelgaz, ont encore indiqué les services de la wilaya.
La société Algerian-Qatar-Steel est une filiale de Qatar Steel International qui appartient au holding Qatar-Industrie (pétrochimie, industries sidérurgiques, chimiques...) dans lequel le constructeur public Qatar Petroleum détient la majorité.
Le groupe qatarien exploite plusieurs complexes sidérurgiques à travers le monde et détient deux aciéries dans la zone industrielle de Messaid, à 40 km de Doha, d’une capacité totale de production de 2,3 millions de tonnes d’acier par an.

APS

KHENCHELA : PRESERVATION DU PATRIMOINE FORESTIER


Des opérations portant sur la préservation et la régénération du patrimoine forêstier de la wilaya de Khenchela ont été engagées, entre 1999 et 2003, pour plus de 7 milliards de dinars, a-t-on appris, mardi, auprès de la conservation des forêts.
Ces actions qui commencnet à porter leurs fruits, outre leur impact sur l’environnement, ont permis de générer 12.134 postes de travail entre emplois permanents et saisonniers à travers, notamment, des ateliers de production de bois, des travaux sylvicoles et des opérations de lutte anti-incendie, a précisé le chef service de la gestion du patrimoine forêstier, M.Amar Menasria.
Ces operations, ont également permis, durant ces quatre années de référence, (1999-2003), d’accroître de 15 % la superficie forêstière de la wilaya, qui est actuellement de l’ordre de 140.000 hectares, alors qu’elle n’atteignait pas les 127.000 hectares en 1999.
Concentrée dans la partie septentrionale de la wilaya de Khenchela, ces forêts se composent surtout de peuplements de pins, de pins d’Alep, de cèdres de l’Atlas, de chênes verts et de vastes broussailles.
Ce programme, mis en application dans sa globalité, à l’exception de certains travaux inscrits pour le dernier exercice (2013), a notamment porté sur le reboisement de 27.500 hectares dans les massifs de Beni-Oudjana et d’Ouled Yakoub pour remplacer les arbres coupés pour la production de bois et régénérer les superficies ravagées par les feux, outre le traitement de 4.500 hectares contre les parasites, en particulier la chenille processionnaire.
Il a été également procédé à l’ouverture de 2.527 km de pistes forestières en zones rurales et à l’exécution de 285 projets de proximité de développement rural intégré, est-il noté de même source

APS

CRISE RUSSO-UKRAINIENNE SUR LE GAZ : L'Europe se tourne vers l'Algérie



L'Algérie est de plus en plus citée parmi les pays susceptibles de remédier à la crise d'approvisionnement européen en gaz.

Considérée par l'Europe comme un partenaire énergétique «fiable et crédible», l'Algérie est-elle en mesure de satisfaire la demande de l'Union européenne, jusque-là approvisionnée en partie par le gaz ukrainien et norvégien? La demande européenne se fait, en effet, de plus en plus pressante jusqu'à évoquer la relance du projet de gazoduc Galsi qui devait relier Hassi R'mel à l'Europe via la Sardaigne, actuellement gelé.
La question se pose et l'expert économique algérien Abderrahmane Mebtoul d'estimer, dans le journal en ligne «Maghreb Emergent», que l'Algérie «ne peut (y) suppléer même en intensifiant ses exportations...et cela demande des investissements très lourds, non opérationnels à court terme». Pour lui, l'Algérie fait face, ces dernières années, à une baisse des exportations gazières combinées à une forte augmentation de la consommation intérieure de gaz naturel. En fin observateur, Mebtoul ne cache pas que l'Algérie risque de «créer des tensions sociales et de ralentir son développement en abaissant la consommation intérieure au profit de l'exportation par une baisse drastique des subventions».
Il est notable que l'Algérie est de plus en plus citée parmi les pays susceptibles de remédier à la crise d'approvisionnement européen en gaz due au différend entre l'UE et la Russie au sujet de l'Ukraine et de la Crimée.
L'on signale également que les dirigeants européens pensent d'ores et déjà à acheter des quotas supplémentaires à leurs autres partenaires, dont l'Algérie.
Dépendants pour leurs besoins à 30% du gaz russe, les Etats européens pourraient compenser ce déficit en achetant 20 milliards/m3 de gaz supplémentaires auprès de la Norvège et 7 milliards de plus à l'Algérie. Ces achats pourraient ainsi passer, respectivement, à 119,5 et 32,7 milliards/m3.Les quantités supplémentaires que l'Europe compte acheminer à partir d'Algérie devraient se faire «par voie maritime».
Dès le début de la crise russo-européenne, des responsables politiques européens avaient «reconsidéré» le poids de l'Algérie et de la Libye dans la balance des approvisionnements gaziers de l'Europe. Les dirigeants des groupes énergétiques européens n'ont pas cessé, de leur côté, de citer «l'Algérie comme source importante de gaz susceptible de réduire la dépendance des Européens vis-à-vis de la Russie.»
Mustapha Mekidèche, économiste et vice-président du Conseil national économique et social (Cnes), a été pour sa part catégorique en déclarant que «la crise des Occidentaux avec la Russie ne va pas desserrer ces contraintes pour l'Algérie». S'exprimait ainsi lors de la 18ème rencontre sur les énergies renouvlables organisée par l'Ecole nationale polytechnique, Mekidèche s'est interrogé également sur la volonté de l'Europe de relancer le projet Galsi au moment où elle remet en cause les contrats à long terme au profit du marché libre du gaz (spot).
Pour lui, l'Algérie doit se tourner vers le marché asiatique où les prix du gaz sont largement plus élevés que ceux du marché européen. «Il faut aller vers le marché chinois. La Chine est devenue le premier fournisseur de l'Algérie avec une balance commerciale déséquilibrée. Il faut une contrepartie», a-t-il suggéré.

L'expression

L'HEBDOMADAIRE FRANÇAIS LE POINT RECONNAÎT : "Les Algériens vivent mieux qu'il y a quinze ans"

 
 
Leurs dépenses ont été multipliées par 2,9 de 2000 à 2011
 
L'enquête citée évoque les projets et infrastructures avec chiffres et statistiques à l'appui.
L'article publié hier dans les colonnes du quotidien français le Point revient sur la situation confortable de l'Algérie et évoque également les immenses chantiers lancés depuis 2003. L'article cite l'enquête menée en novembre 2013 par l'Office national des statistiques (ONS) sur le niveau de vie des ménages, qui a fait ressortir que «l'Algérie a réalisé plus d'infrastructures en dix ans, entre 2003 et 2013, qu'en quarante ans, entre 1962 et 2002». L'article indique que l'enquête est venue confirmer ce que les nouveaux paysages urbains laissaient deviner. Il évoque les logements, barrages, usines de dessalement d'eau de mer, les routes, autoroutes, générateurs électriques, métro, tramways, équipements publics divers et souligne que «l'Algérie est devenue un immense chantier».
L'enquête de l'ONS avait indiqué que «les Algériens vivent mieux qu'il y a quinze ans, leurs dépenses ont été multipliées par 2,9 de 2000 à 2011». La même enquête a dressé les raisons qui expliquent cette amélioration du niveau de vie. La première est la diminution du chômage qui a reculé de près de 20 points en onze ans pour passer officiellement sous la barre des 10%. La deuxième est l'accroissement de l'urbanisation: 69% des Algériens vivaient en ville en 2013 contre 58% en 2000. La troisième raison est la réduction des inégalités sociales en une décennie grâce à la hausse des salaires de la Fonction publique et des transferts sociaux (28% du PIB en 2012). L'article note que «cette amélioration du niveau de vie de l'Algérien moyen est visible dans les rues» ajoutant qu'en 2012 les Algériens ont acheté 443.000 voitures neuves, plus que les Polonais et les Portugais réunis.
Et en février dernier, poursuit l'article, le Touring Club d'Algérie (TCA), a acheté 2 500 séjours au Brésil pour la Coupe du monde de football où «les Verts» sont qualifiés. A 4000 euros le forfait le moins cher, TCA redoutait de ne pas les écouler. «Ils ont été vendus en dix jours» souligne l'article. Selon le sociologue Saïd Derrache, cité par le quotidien français «le rebond de la natalité en 2013, avec +7,5% de naissances sur 2012, est très probablement une autre conséquence du mieux-vivre, mais aussi de l'accès plus facile au logement qui explique que l'âge moyen du mariage des jeunes femmes soit repassé sous la barre des 30 ans».
Cette performance serait surtout due, selon le Point à la manne pétrolière et à la hausse du prix du brut depuis près de dix ans. Il avance que 550 milliards de dollars tirés du pétrole et du gaz ont été engrangés ces quinze dernières années.
L'article souligne qu'il «n'y a rien d'étonnant à ce que Abdelmalek Sellal, ancien Premier ministre et actuel directeur de campagne de Abdelaziz Bouteflika, insiste dans tous ses meetings sur les réalisations économiques du président».

L'expression

Rachat de FagorBrandt par Cevital : entretien exclusif avec Issad Rebrab

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La justice française a validé aujourd’hui le projet de rachat de FagorBrandt par Cevital. Quel est le montant de la transaction ?
Nous avons acheté les quatre marques françaises (Brandt, Sauter, Vedette et De Dietrich) pour 25 millions d’euros. Mais les autres actifs industriels sont bien inférieurs à ces montants. Nous avons quatre banques internationales qui nous ont accompagnés pour ces acquisitions et en même temps pour nous assurer les fonds de roulement des usines de FagorBrandt. En contrepartie, nous avons donné ces marques et les actifs en garanties.
Donc, Cevital n’a finalement pas pu transférer des devises d’Algérie pour conclure l’opération ?
Il n’y a eu aucun transfert de devises pour l’instant. On va revenir vers notre gouvernement pour lui demander s’il est possible de nous libérer nos devises libre utilisation. Nous avons introduit une demande dans ce sens en janvier et ils nous ont dit qu’il fallait attendre.
L’opération a été réalisée grâce à l’aide du gouvernement français que je remercie beaucoup, et particulièrement grâce au ministre de l’Économie et du Redressement productif Arnaud Montebourg qui nous a beaucoup aidés. Je remercie également le gouvernement espagnol qui a accepté la vente de ces marques françaises.
Mais c’est important de comprendre que l’argent ne manque pas à travers le monde. Quand vous êtes crédible et quand vous avez des garanties, les banques n’ont aucun problème à vous accompagner. Cevital a une crédibilité à l’international. Les banques ont constaté que notre projet est viable et banquable et c’est ainsi qu’elles nous ont accompagnés dans cette opération. Mais on aurait préféré utiliser nos propres devises libre utilisation au lieu d’être endetté auprès des banques internationales.
Quel intérêt pourrait avoir ce projet pour l’Algérie ?
Ce projet sert effectivement à maintenir des emplois en France, en Espagne, et en Pologne. Cependant, il servira également à créer 7 500 emplois en Algérie et dégager 1,5 milliard de dollars à l’exportation par an, avec la construction d’une usine d’appareils électroménagers à Sétif. C’est un investissement très important de près de 200 millions d’euros. Nous avons les moyens financiers nécessaires pour le faire car nous sommes en surliquidités en Algérie. Elle sera l’une des plus grandes usines d’électroménager dans le monde et qui fabriquera des appareils électroménagers comme les réfrigérateurs, des machines à laver, des climatiseurs et des téléviseurs.
Les unités qu’on a achetées en France, en Pologne et qu’on doit acheter en Espagne qui concernent des produits de cuisson, sont rentables. Nous allons les garder avec le centre de recherche et développement et tout le réseau de distribution. Nous allons par contre délocaliser les activités de FagorBrandt de la Chine et de certains pays de l’est de l’Europe vers l’Algérie parce qu’on est beaucoup plus compétitifs. Les produits qu’on va fabriquer en Algérie vont profiter du réseau de distribution à travers le monde. Et les usines françaises, espagnoles et polonaises vont non seulement profiter du marché européen mais nous allons également leur ouvrir le marché maghrébin, africain et celui du Moyen-Orient en plus de leur réseau de distribution qu’elles ont dans le monde.
Quand est-ce que le projet sera lancé ?
On vient d’obtenir le terrain à Sétif. On va commencer la construction tout de suite et l’usine sera opérationnelle dans 15 ou 16 mois. C’est pour la première fois qu’une société algérienne a 1 300 brevets, avec quatre marques de réputation mondiale.
Pourquoi les autorités algériennes ne vous accompagnent-elles pas ?
J’espère qu’ils vont comprendre que c’est dans l’intérêt national. Mais il faut poser la question à nos décideurs pour comprendre.
 TSA

Air Algérie : Ouverture d’une desserte vers Lisbonne


La compagnie nationale Air Algérie a inauguré officiellement hier sa nouvelle desserte vers Lisbonne, la capitale portugaise, au départ d’Alger.
Le vol inaugural entre les deux capitales intervient «dans le cadre d’un programme qui comprend aussi un second vol effectué tous les jeudis afin de faciliter les échanges avec le Portugal», a fait savoir le PDG d’Air Algérie, Mohamed Salah Boultif, cité par l’APS. Cette destination a une importance pour Air Algérie, a ajouté ce responsable, car le Portugal est proche des pays du nord de la Méditerranée comme il constitue, à ses yeux, un hub vers l’Afrique lusophone. Présent à la cérémonie, Amar Ghoul, ministre des Transports, a annoncé que l’Algérie compte renforcer ce vol par d’autres destinations vers le nord du Portugal. «Le ministère prendra en charge convenablement les accords aérien et maritime ainsi que l’accord sur le transport terrestre» avec le Portugal, pour encourager le tourisme et les relations d’affaires, a promis le ministre algérien. Pour sa part, le ministre portugais de l’Economie, Antonio Pirea de Lima, a confié qu’il s’attend à ce que ce premier vol contribue à l’essor des échanges entre les deux pays. Air Algérie propose le billet à raison de 19 900 DA.
 EL WATAN

mardi 15 avril 2014

Dans la perspective du lancement de l’usine Renault : Ouverture d’un atelier de formation en assemblage

 
 Une chaîne d’assemblage de voitures.

Un atelier de formation en industrie automobile a été inauguré au sein du centre de formation professionnelle d’Oued Tlélat. Le coût des travaux de réhabilitation et d’aménagement ont atteint 14,5 millions de dinars et nécessité un délai de 6 mois.
Après 6 mois de travaux de réhabilitation et d’aménagement, et avec une enveloppe financière de 14,5 millions de dinars, un atelier de formation en industrie automobile a été inauguré au sein du centre de formation professionnelle d’Oued Tlélat. Initié par la direction locale de la Formation et de l’Enseignement professionnels avec l’appui de Renault Algérie production, ce centre sera dédié aux salariés qui seront recrutés au niveau de l’usine Renault afin de parachever leur cursus de formation dans l’assemblage de voitures.
Ce CFPA d’Oued Tlélat est situé à quelques centaines de mètres de l’usine Renault. «Comme vous le constatez, nous avons respecté les normes internationales pour ce genre d’espace de formation», déclare le directeur de wilaya de la formation professionnelle Abdelkader Touil. La visite a permis d’inspecter les salles de cours, l’atelier de sécurité et environnement, ainsi que celui du montage. «La formation dans un environnement similaire à celui de l’entreprise permet aux stagiaires d’apprendre toutes les techniques nécessaires et utiles dans un espace familier», a souligné la consultante auprès de la société Renault, chargée de cette opération, Corinne Guéronnet.
Quant au PDG de Renault, sa satisfaction fut grande : «Nous offrons à notre personnel tous les moyens de formation pour une production de qualité. Cependant, cet espace de formation n’appartient pas seulement à Renault. Certes, les outils pédagogiques sont ceux de Renault mais n’oubliez pas que c’est un acquis du CFPA». En marge de la visite, le PDG de l’usine Renault a rappelé l’engagement de Renault Algérie Production de respecter le délai de lancement de l’usine, soit le 20 novembre 2014, avec une production de 25 000 v/an. «Nous sommes créateurs d’emplois et de richesses. Dans notre 2e phase de production, des centaines d’emplois seront créés».
Quant à la bonne nouvelle, AEK Touil a affirmé : «L’assiette nue du CFPA d’oued Tlélat, d’une superficie de 8 000 m2, abritera la réalisation d’un pôle d’excellence destiné à l’industrie mécanique» et d’ajouter : «Au CFPA d’Es Sénia, trois anciens ateliers seront transformés en R+1 pour le service après-vente. Une enveloppe de 100 millions de dinars a été  débloquée».

EL WATAN                                                              

lundi 14 avril 2014

CONSTANTINE : DES PROJETS POUR RATTRAPER LES RETARDS


La commune agropastorale de Boughrara-Saoudi, située à 40 km du chef-lieu de la wilaya d’Oum El Bouaghi, mise essentiellement sur ses potentialités naturelles pour émerger et effectuer un pas significatif dans sa quête de développement.
A la faveur de plusieurs programmes de développement, Boughrara- Saoudi où vivent quelque 5.000 habitants, passait il y a quelques années pour une des communes les plus pauvres d’Oum El Bouaghi. Elle entend aujourd’hui "rattraper ses retards et sortir de son enclavement", souligne le président de l’Assemblée populaire communale (APC), Abdelaziz Guellif.
La commune a bénéficié, souligne l’ élu, "d’importants projets dans le secteur de l’énergie, ce qui a permis le raccordement de plus de 90 % de sa population au réseau du gaz naturel.
M. Guellif ajoute que l’inscription d’un projet portant réalisation d’un nouveau périmètre d’irrigation constituera, aux côtés du périmètre de Ben M’djennah, déjà opérationnel, "un acquis très important dès lors qu’il permettra d’étendre la superficie agricole de la commune, d’accroitre ses capacités de production et d’assurer des centaines de postes d’emplois".
Ce projet "réglera le problème lié au déficit en pluviométrie auquel la commune de Boughrara-Saoudi a dû faire face pendant des années" et "permettra à la région, connue pour la production de légumes, de renouer avec ses traditions agricoles".
Par ailleurs, le projet de réalisation de 80 logements publics locatifs est également considéré, à Boughrara Saoudi, comme un "bienfait inestimable" puisqu’il permettra d’assurer de nombreux postes de travail aux jeunes de la commune.
Pour la seule année 2014, une enveloppe financière de l’ordre de 70 millions de dinars a été allouée à la commune de Boughrara-Saoudi pour la concrétisation de divers autres projets de éveloppement, affirme encore le président de l’APC.
Soulignant que ce sont-là des projets inscrits "après consultation des représentants de la société civile de la commune", M. Guellif précise qu’il s’agit, notamment, de l’aménagement du stade communal, de la réalisation d’un chemin communal reliant l’agglomération d’Aïn Kerma à celle de Foum M’zabi,aux côtés de l’équipement du nouveau siège de la commune et de la dotation en eau potable de la mechta Henchir El Mehras au profit de 25 foyers.
Le programme de développement de la commune Boughrara-Saoudi comprend aussi la réalisation d’un collecteur des eaux usées et d’une salle de soins pour l’agglomération Ben N’Djennah.
Le grand défi à relever pour assurer le désenclavement des groupements épars de la commune de cette commune consiste, selon le président de l’APC, en la réhabilitation du chemin de wilaya (CW) n° 8 qui traverse la commune, la régularisation des problèmes de foncier dans cette région et le raccordement des mechtas Ounk El Djamal, Lahnada et Bir El Guern au réseau d’électrification rurale.

APS

LES ELEVEURS DE CAPRINS SE LANCENT DANS LA FABRICATION DU FROMAGE


Une trentaine d’éleveurs de caprins, quelques étudiants en sciences vétérinaires en fin de cycle et certains intervenants dans le domaine de l’élevage s’attèlent, depuis dimanche, à s’imprégner des techniques de fabrication de fromages fermier à base de lait de chèvre, au niveau de la chambre d’agriculture de Blida.
Attentifs, concentrés et appliqués, ils se mettent autour d’une table ronde à écouter et suivre les explications du formateur, Arezki Ait Abdelmalek, lui-même éleveur-fromager dans la région de Ouacifs, dans la wilaya de Tizi Ouzou.
Le silence règne dans la grande salle, au moment où le maître "distille" ses orientations, appelant sans cesse les stagiaires à "prêter attentivement l’oreille" avant de poser la moindre question.
L’ambiance est, de temps à autre, "aérée" par l’échange d’amabilités et de discussions courtoises. Question de soulager les esprits des apprenants et leur permettre de mieux assimiler la leçon du jour.
"Tout le processus de fabrication du fromage fermier à base de lait de chèvre se fait à la main et la moindre erreur d’inattention peut porter préjudice à sa qualité", lance M.Ait Abdelmalek, en direction des stagiaires, qui n’hésitaient pas à poser des questions sur les points compliqués .
C’est en forgeant qu’on devient forgeron…
De simple éleveur, M.Arezki Ait Abdelmalek a réussi à fonder sa propre fromagerie fermière traditionnelle. "C’est une aventure que moi et mon épouse avons entamé au début des années 2000. Nous avons la volonté d’avancer et nous l’avons fait grâce à des efforts colossaux", affirme-t-il, à l’APS.
"C’est en forgeant qu’on devient forgeron, dit un dicton bien connu. C’était justement notre devise, lorsque nous nous sommes lancés dans ce créneau", ajoute M.Ait Abdelmalek, ajoutant que la première formation théorique dont il a bénéficié était en 2002, lorsqu’il avait acheté un bouquin sur les fromages traditionnels en France.
Ensuite, il a bénéficié d’une aide de la part de l’association française AMSED, à sa tête Kabèche Djilali, d’origine algérienne, qui œuvre à soutenir la création de micro-entreprise dans les pays de la rive sud de la méditerranée.
"Nous possédons actuellement une quarantaine de chèvre et dix vaches laitières, dont nous transformons le lait en fromage fermier", explique-t-il encore, se félicitant de l’intérêt suscité par son produit "essentiellement auprès des grands hôtels et des ambassades étrangères".
M.Ait Abdelmalek reconnaît que ce produit est relativement cher, expliquant que cela est du à l’inexistence d’une production suffisante. "Ce créneau est très porteur pour les éleveurs qui devraient être encouragés par les autorités afin de lancer leurs propres projets", estime-t-il.
Encourager l’élevage caprin et réaliser des produits bio…
L’engouement affiché par les éleveurs caprins pour l’apprentissage de la fabrication du fromage fermier traditionnel est motivé par la plus value importante de ce créneau.
"Si nous vendons dix litres de lait, ça nous revient à peine à 1.200 dinars. Mais là, nous devons nous déplacer au marché, payer le transport et surtout, abandonner nos cheptels pendant quelques heures, alors qu’avec la fabrication du fromage, nous avons tout à gagner", ont expliqué certains membres de l’association des éleveurs caprins de l’Atlas blidéen (Atlas-Cap).
Ces derniers ont émis leur espoir de bénéficier des aides de la part du ministère de l’Agriculture afin de pouvoir investir dans ce créneau porteur.

APS

PRINTEMPS AMAZIGH : PROGRAMME DE CELEBRATION DU HCA


Le Haut commissariat à l’amazighité (HCA) a élaboré à l’occasion du 34ème anniversaire du "Printemps amazigh" (20 avril 1980) un ambitieux programme national de célébration devant s’étaler du 20 avril au 21 septembre 2014 , annonce un communiqué de cette institution, parvenu dimanche à l’APS.
Le coup d’envoi des festivités sera donné le 20 avril à Alger, Tizi-Ouzou, Oran, Boumerdes et Bouira , pour s’y poursuivre jusqu’au 25 du même mois. Projection de films en rapport avec l’amazighité, dont "Le fils de l’Amazigh vivra", réalisé par Si El Hachemi Assad, secrétaire général du HCA, des hommages à Mouloud Mammeri et Mohamed Idir Ait Amrane pour leur apport à la cause amazighe, ainsi qu’une table ronde consacrée à l’évaluation de "l’évolution du dossier de l’amazighité en Algérie" sont, entre autres, les activités programmées du 20 au 25 avril courant.
Ces activités seront relayées, du 30 avril au 4 mai, par des sorties sur le terrain dans les wilayas d’El Bayadh, Nâama et Ouargla. Les 7 et 8 juin, le HCA projette d’organiser un colloque international à Azazga (Tizi-Ouzou) sur un thème spécifique à l’une des missions qui lui sont dévolues, et ce, avant de marquer une halte à Bouira, Boumerdes et Béjaia, du 12 au 19 juillet , avec au menu des soirées de littérature amazighe.
Du 2 au 15 août 2014, il a été retenu l’organisation, à Jijel, d’un camp d’été national de formation destiné exclusivement aux meilleures élèves de Tamazight de l’ensemble des wilayas concernées par l’enseignement de cette langue.
Un colloque international intitulé : "Massinissa au cœur de la consécration du premier Etat numide" sera organisé les 20 et 21 septembre à El Khroub (Constantine), région où se trouve le mausolée de ce célèbre roi numide.
Selon le programme, la ville de Bouira accueillera enfin du 6 au 9 septembre un Salon national du livre et du multimédia amazighs, manifestation qui sera précédée par l’organisation d’une journée d’études sur "La polysémie dans la langue amazighe".

APS

samedi 12 avril 2014

Ahmed Ben Bella, premier président de l'Algérie indépendante

Ahmed Ben Bella, premier président de l'Algérie indépendante

Premier président de l'Algérie indépendante, Ahmed Ben Bella, fut l'homme au nationalisme inébranlable qui a aidé, par son combat et engagement, à libérer le pays du joug colonial et eu, par conséquent, le mérite d'inscrire son nom parmi les figures emblématiques de la guerre de libération nationale.
Décédé dans son domicile familial à Alger, un 11 avril de l'année 2012 à l'âge de 96 ans, Ahmed Ben Bella, la trentaine à peine entamée, rejoint le Parti du peuple algérien (PPA), suite aux massacres du 8 mai 1945 de la population algérienne par les forces coloniales, puis le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), deux partis fondés par le père du nationalisme algérien, Messali Hadj.
Décidé à aller jusqu'au bout de sa lutte pour arracher l'indépendance de l'Algérie, feu Ben Bella a apporté une importante contribution en tant que membre de la direction nationale de l'Organisation Spéciale (OS) en charge de l'Oranie, puis comme premier dirigeant de cette structure politico-militaire qui comptait dans ses rangs les noms les plus prestigieux du mouvement indépendantiste, à savoir Mohamed Belouizdad, Hocine Ait Ahmed, Mostefa Benboulaid, Didouche Mourad, Larbi Ben M'hidi et Mohamed Boudiaf, entre autres.
Né le 25 décembre 1916 à Maghnia (Tlemcen), le défunt président figurait parmi les neuf chefs historiques de la Révolution du 1er novembre 1954. C'est lui qui a annoncé au monde, à travers les ondes de la radio du Caire, le début de l'insurrection contre le colonialisme français.
Ministre d'Etat et Premier vice-président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) jusqu'à l'indépendance de l'Algérie (alors qu'il était détenu dans les geôles françaises depuis le rapt de l'avion qui le transportait en compagnie de Hocine Ait Ahmed, Mohamed Boudiaf, Mohamed Khider et Mostefa Lacheraf à l'automne 1956), il était devenu le premier chef du gouvernement algérien de l'Algérie indépendante en septembre 1962 avant d'être élu, en septembre 1963, président de la République.
Destitué le 19 juin 1965, Ahmed Ben Bella est resté en résidence surveillée jusqu'à juillet 1979. Il fut assigné, par la suite, à résidence à M'sila (Est d'Alger) avant d'être libéré en octobre 1980. Il fonde ensuite, en France, le Mouvement pour la démocratie en Algérie (MDA). Il rentre définitivement en Algérie le 29 septembre 1990.
Auteur, entre autres, de "L'Islam et la révolution algérienne" et "La filiation maudite'', feu Ben Bella a occupé de 2007 jusqu'à sa mort, le poste de président du groupe des Sages de l'Union africaine (UA).
Suite à la triste nouvelle du décès d'Ahmed Ben Bella, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait décrété un deuil national de huit jours et déploré, dans un message de condoléances adressé à la famille du défunt, la perte d'un des grands hommes de l'Algérie et des sages dirigeants africains.
"Les grands hommes nous quittent mais leur souvenir demeure éternel.
L'un des plus éminents dirigeants de l'Etat algérien moderne et un des sages dirigeants africains, le président moudjahid Ahmed Ben Bella nous a quittés aujourd'hui, puisse Dieu Le Tout puissant l'accueillir en Son vaste paradis aux côtés de ceux qu'Il a comblés de Ses bienfaits et entourés de Sa grâce éternelle", avait écrit le président Bouteflika dans son message.
Les titres de la presse nationale et même certains de la presse internationale du 12 avril 2012 avaient rendu un hommage au défunt président, en le qualifiant de "monument de l'histoire" et d'"homme d'une grande expérience politique".
L'ensemble des journaux lui ont réservé des pages entières pour rappeler son parcours militant, et surtout pour dresser des portraits d'un moudjahid et d'un grand homme politique, en mettant en avant son militantisme et combat pour l'indépendance de l'Algérie.

APS

La presse s'interroge sur le taux de participation de la communauté nationale à l'étranger

La presse s'interroge sur le taux de participation de la communauté nationale à l'étranger

La presse nationale s'est interrogée samedi sur le taux de participation de la communauté nationale à l'étranger où les bureaux de vote pour l'élection présidentielle sont ouverts depuis la matinée à plus d'un million d'électeurs tandis qu'en Algérie les six candidats continuaient d'appeler les citoyens à une forte participation le 17 avril.
Comme le soulignent El Moudjahid, El Massa et Echaâb, la communauté nationale établie à l'étranger se rend aux urnes à partir de samedi matin et dispose de cinq jours (12-17 avril) pour faire son choix parmi les six candidats en compétition pour l'élection présidentielle.
Tous les moyens humains et matériels pour la réussite de ce scrutin ont été réunis pour accueillir les 1.009.000 électeurs répartis à travers 398 bureaux de vote, soulignent-ils.
"Les postulants ou leurs représentants qui ont animé des meetings dans l'Hexagone et ailleurs, ne sous-estiment pas l'importance du vote de la diaspora algérienne, même si celle-ci reproche aux autorités nationales de ne pas faire assez pour elle. A bien des égards, elle donne le ton et le pouls de la participation générale qui oscille, naturellement, en fonction de l'importance et de l'enjeu de la consultation", écrit de son côté Horizons dans un commentaire.
Optimiste, le même journal note qu'au regard des promesses formulées à leur endroit durant la campagne électorale qui s'achève dimanche à minuit en Algérie, "les émigrés ne seront pas indifférents à l'appel de se rendre aux urnes. Mais comme la communauté n'est pas monolithique, l'enthousiasme des uns peut être tempéré par l'indifférence, voire l'opposition, des autres."
"Les assurances fournies quant à la transparence du scrutin et le contrôle que peuvent exercer les représentants des candidats sur les opérations électorales sont de nature à persuader les récalcitrants", estime Horizons.
Pour le Soir d'Algérie, le vote de la communauté nationale à l'étranger, notamment en Europe, plus particulièrement en France, va donner un "avant-goût" de ce que sera le scrutin du 17 avril dans le pays.
"Iront-ils ou n'iront-ils pas voter? C'est toute la question qui taraude autant les pro-quatrième mandat, les représentants des autres candidats que les partisans du boycott. L'enjeu est de taille, puisque depuis toujours, la communauté à l'étranger donne le ton à ce qui se passera dans le pays jeudi 17 avril", s'interroge-t-il.
Durant la compagne électorale, précise le Soir d'Algérie, trois parties s'étaient adressées aux émigrés en Europe, à savoir les partisans du président sortant et candidat Abdelaziz Bouteflika, ceux de Ali Benflis et les boycotteurs du scrutin de jeudi prochain.
El Watan revient sur les dispositions prises par les autorités consulaires algérienne en France pour une meilleure organisation du scrutin.
"Le problème de l'éloignement des bureaux de vote des lieux de résidence a souvent été avancé, lors des précédents scrutins, pour justifier les taux
de participation médiocres. Pour ce scrutin, il a été procédé, dans la plupart des circonscriptions électorales, à une décentralisation des bureaux de vote au plus près des villes de résidence des électeurs", note-t-il.
Le journal s'interroge de savoir si ces dispositions encourageront les émigrés à travers les départements français à aller voter au moment où des voix appellent à la manifestation et au boycott.
El Khabar annonce également le début du vote des émigrés, pour la plupart établis en France, alors qu'Echorouk El Yaoumi met exergue la mise en place de nouveaux bureaux de vote proches des lieux de résidence de la communauté nationale afin de permettre aux électeurs d'accomplir facilement leur devoir électoral.
Par ailleurs, les journaux continuaient samedi de rendre compte des meetings des six candidats et de leurs représentants qui, à deux jours de la clôture de la campagne électorale, ont réitéré leur appel à une participation massive au scrutin du 17 avril.
Echaâb a ainsi consacré de larges espaces aux déclarations des six prétendants à la magistrature suprême qui étaient unanimes dans leurs meetings et rencontres de proximité du week-end à appeler à une forte participation des électeurs au rendez-vous de jeudi prochain.
El Watan rapporte de son côté que le candidat indépendant Ali Benflis a été "chaleureusement" accueilli à Bejaia.
Le même journal mentionne une déclaration de Louisa Hanoune affirmant que "les statistiques officielles de l'emploi sont erronées", et prévoit une "dernière semaine chargée" pour le front du boycott de la présidentielle.
Dans son éditorial intitulé "jeux et enjeux", le quotidien Liberté mentionne qu'"à 48 heures de la fin de la campagne électorale, jamais les jeux n'ont été aussi serrés entre la direction de campagne de Bouteflika, menée par Sellal, et le candidat Benflis".

APS

Début samedi de l'opération de vote de la communauté nationale à l'étranger

Début samedi de l'opération de vote de la communauté nationale à l'étranger

La communauté nationale à l'étranger commence à voter à partir de ce samedi dans le cadre de l'élection présidentielle du 17 avril, conformément à la loi organique relative au régime électoral de 2012.
Quelques 1.009.000 électeurs répartis à travers 398 bureaux de vote sont concernés et toutes les conditions sont réunies pour les accueillir, selon le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
"Toutes les mesures ont été prises" pour le bon déroulement des opérations de vote du 12 au 17 avril, a assuré M. Lamamra, et ce, en coordination avec le ministère de l'Intérieur et des collectivités locales, celui de la Justice et la Commission électorale.
Il a indiqué, également, que les dispositions prises par l'Etat "permettront sans nul doute" une participation en force des électeurs algériens à l'étranger.
La loi organique relative au régime électoral de 2012 stipule dans son article 30, entre autres, que le ministre chargé de l'Intérieur et le ministre chargé des Affaires étrangères peuvent avancer de cent vingt (120) heures la date d'ouverture du scrutin.
La France qui accueille la plus importante communauté algérienne à l'étranger compte le plus grand nombre d'électeurs.
Six candidats sont en lice pour ce rendez-vous électoral. Il s'agit du président sortant, Abdelaziz Bouteflika, qui brigue un quatrième mandat, de l'ancien chef du gouvernement, Ali Benflis, qui se présente pour la seconde fois après celle de 2004, de la secrétaire générale du Parti des Travailleurs, Louisa Hanoune et du président du parti Ahd 54, Ali Fewzi Rebaine, qui se sont déjà portés candidats en 2004 et 2009, ainsi que de Moussa Touati, candidat en 2009.
Abdelaziz Belaïd, président du Front El Moustakbal, fait son baptême de feu.

APS

Bureaux de vote ouverts pour le déroulement de l’élection présidentielle en France



 
 
Bureaux de vote ouverts pour le déroulement de l’élection présidentielle en France
 du 12 au 17 avril 2014.
 
Bureaux de vote par Région
  

BM: la région MENA doit créer 28 millions d'emplois pour endiguer le chômage

BM: la région MENA doit créer 28 millions d'emplois pour endiguer le chômage

La Banque mondiale a indiqué que la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) devrait créer 28 millions d'emplois sur les 7 prochaines années pour contenir toute augmentation du chômage.
Les ''réglementations lourdes'' désavantagent les nouvelles et les petites entreprises alors que les marchés du travail sont plutôt dirigés vers les emplois du secteur public, a observé la BM dans un rapport sur la région MENA publié à l'occasion de la tenue de sa réunion de printemps avec le FMI, prévue du 11 au 13 avril à Washington.
Concernant la situation économique, la BM avise que si la région connaît une légère reprise de la croissance grâce notamment à une amélioration de l'économie mondiale et à l'apaisement des tensions politiques dans certains pays en transition, les perspectives pour une pleine reprise économique restent ''incertaines''.
Elle a également noté que la diversification économique n'a pas eu lieu car la région manque d'investissements dans le capital ''immatériel" telles l'éducation, l'innovation et de solides institutions qui favorisent la concurrence.
A ce propos, la vice-présidente auprès de la BM pour la région MENA, Mme Inger Andersen, a réitéré que des réformes économiques et structurelles étaient nécessaires ''pour aider les pays de la région à faire face aux problèmes qui les empêchent d'aller vers un chemin de croissance plus forte et durable."
Par ailleurs, cette institution financière internationale a avancé que la hausse attendue de la demande mondiale devrait stimuler les exportations pétrolières et des autres produits fabriqués dans les pays du MENA qui ont des échanges commerciaux avec les pays importateurs à revenus élevés.
Néanmoins, l'économiste en chef de la BM pour la région MENA, Shanta Devarajan, a estimé que la reprise mondiale restait encore fragile et que les risques à la baisse demeuraient toujours.
Mais le plus grand risque pour la reprise économique au MENA , a-t-il avisé, ''réside dans les problèmes structurels qui ne sont toujours pas résolus" dans cette région.

APS

Les pays en développement reçoivent 436 milliards de dollars de leurs émigrants en 2014

Les pays en développement reçoivent 436 milliards de dollars de leurs émigrants en 2014

La Banque mondiale a indiqué vendredi que les envois de fonds des travailleurs migrants à leurs familles dans les pays en développement devraient atteindre 436 milliards de dollars en 2014.
Dans sa note d’information sur les migrations et le développement publiée à l'occasion de la tenue de sa réunion de printemps du 11 au 13 avril à Washington, la BM a avancé que ces transferts de fonds vers les pays en développement devraient afficher une hausse de 7,8% en 2014 par rapport au montant de 404 milliards de dollars enregistré en 2013.
Selon ses estimations, les transferts de ces fonds devraient continuer à augmenter pour atteindre 516 milliards de dollars en 2016.
A l’échelle mondiale, pays développés compris, les envois de fonds devraient atteindre un montant estimé à 581ámilliards de dollars en 2014, contre 542 milliards de dollars en 2013, et augmenter à 681 milliards de dollars en 2016.
Les envois de fonds demeurent l’une des principales sources de ressources extérieures pour les pays en développement, excédant de loin l’aide publique au développement et étant beaucoup plus stables que la dette privée et les investissements de portefeuille.
Pour de nombreux pays en développement, les envois de fonds sont une importante source de devises et dont le montant excède les recettes tirées des principales exportations et couvre une grande partie du coût des importations.
''Les envois de fonds sont aujourd’hui un élément essentiel de la balance des paiements d’un pays'',  a expliqué áKaushik Basu, premier vice-président de la BM, ajoutant qu'il ne fait aucun doute que ces apports sont un ''antidote'' à la pauvreté et contribuent à la prospérité.
Néanmoins, la BM observe que si les perspectives à moyen terme semblent bonnes pour les envois de fonds, leur croissance risque de ralentir à cause du retour des migrants dans leur pays d’origine en raison d’un conflit ou de l’expulsion du pays d’accueil.
En effet, précise-t-elle, les expulsions se sont multipliées l’année dernière: rien qu’en Arabie saoudite, plus de 370á000 migrants ont été renvoyés dans leurs pays d’origine depuis novembre 2013, notant que nombre de ces migrants venaient d’Ethiopie, d’Egypte et du Yémen.
Dans le classement des plus grands pays bénéficiaires de ces transferts, la BM indique que l’Inde s’est maintenue au premier rang avec 70 milliards de dollars en 2013, suivie de la Chine (60 milliards de dollars), des Philippines (25 milliards de dollars), du Mexique (22 milliards de dollars), du Nigéria (21 milliards de dollars) et d'Egypte (17 milliards de dollars).

APS

vendredi 11 avril 2014

Sellal annonce que ce sera appliqué dès juin prochain : Le service national réduit à 12 mois


Abdelmalek Sellal a annoncé ce jeudi, en marge de son meeting tenu à Tiaret que la période du service national sera réduite à 12 mois (au lieu de 18 mois actuellement). Il précisera que le decret entrera en vigueur dès juin prochain. le directeur de campagne du candidat-président, Abdelaziz Bouteflika, a également précisé que cette période durant laquelle les appelés militaires seront sous les drapeaux sera prise en compte dans la retraite, et dans l'indemnisation de l'expérience professionnelle. Abdelamalek Sellal a même annoncé la revalorisation de la solde attribuée aux appelés militaires.

LIBERTÉ

AIN TEMOUCHENT : JOURNEES D’ETUDES SUR LES MATHEMATIQUES


Les premières journées d’études sur les mathématiques "JEMAT 01", ouvertes mercredi à Ain Temouchent, auront des effets très positifs sur le centre universitaire, a indiqué le responsable du département des mathématiques et de l’informatique.
Les deux journées, qui réunissent des enseignants algériens exerçant dans le pays et à l’étranger, constituent une importante ouverture du centre universitaire d’Ain Temouchent sur la recherche scientifique en mathématiques, a souligné Hamoudi Ahmed.
Intervenant à l’ouverture des travaux, il a signalé que les mathématiques est "un domaine très peu généralisé en Algérie d’où la nécessité de l’organisation de ces JEMAT que nous espérons traditionnelles pour développer ce domaine.
Elles permettront d’effectuer des échanges de connaissances et d’expériences entre les enseignants et entre ces derniers et les étudiants".
Les conférenciers, pour leur part, ont noté l’importance du potentiel d’enseignants en mathématiques.
Abritées par la salle de conférence du CUAT, la première journée de cette rencontre a été marquée par la présentation de plusieurs communications animées par des enseignants de l’USTHB d’Alger et des université d’Oran, Sidi Bel-Abbes et Ain Temouchent, ainsi que des universités du Littoral à Calais (France) et Brock Ontario du Canada.
Entre autres thèmes abordés, à cette occasion, il y a lieu de noter "indice d’un entier algébrique", "progressions arithmétiques de nombres premiers", "exposants de polynômes tordus à coefficients dans un corps fini".
La seconde journée de ces "JEMAT 01" se penchera sur "l’application de la réduite de Pi/2 à l’étude de la convergence de la suite (tan n/n)" et surtout l’algèbre à travers "les invariants algébriques des systèmes différentiels".

APS

PME : LANCEMENT DE LA 6EME EDITION DU PRIX NATIONAL DE L’INNOVATION 2014



La sixième édition du prix national de l’innovation 2014 pour les petites et moyennes entreprises a été lancée récemment par la direction générale de la PME, a-t-on appris mercredi auprès de la direction de l’industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement de la wilaya d’Oran.
Ce prix national vise à appuyer l’innovation, la recherche et le développement dans les PME pour améliorer la compétitivité, a expliqué M. Abderrahmane Khaldoun, directeur par intérim de cette structure.
Ce prix met en compétition les PME innovantes activant dans l’industrie et les services dont les TIC, et consiste en l’octroi de médailles, d’attestations de mérite et de récompenses pécuniaires de la meilleure entreprise innovante, a-t-il dit.
Les montants du prix sont fixés à 1 million DA pour le premier lauréat, 800.000 et 600.000 DA pour le 2ème et le 3ème, respectivement.
La date limite de dépôt des dossiers est fixée à 90 jours à compter du 27 mars, a expliqué la même source, rappelant que le dossier de candidature sera adressé au ministère de l’Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de la Promotion de l’Investissement.
La participation au prix national de l’innovation est gratuite, a indiqué la même source, ajoutant que les participants doivent fournir tout document ou support électronique justifiant l’origine de l’innovation.
La commission du prix procédera à un examen approfondi comprenant une visite sur site pour examiner certains éléments de l’innovation.

APS