Le monde entier assiste à un génocide programmé du peuple palestinien, hier spolié de ses terres, aujourd’hui cobaye sur lequel on expérimente l’arsenal militaire. Certains pays suivent ce massacre impuissants n’ayant que des prières à égrener, d’autres, en revanche, acteurs puissants et influents, se bouchent les oreilles et se bandent les yeux tant chaque jour qui passe grossit le décompte macabre des civils tués, dont la majorité est composée de femmes et d’enfants.
Ce qui se passe à Gaza pèsera sur la conscience des nations du monde qui se disent libres et qui continuent à faire repentance d’une Shoah dont ils sont les seuls à assumer l’entière responsabilité, mais l’histoire retiendra aussi leur passivité sur ce qui se passe à Gaza.
Comme elle retiendra que les Nations unies ne sont finalement qu’un “machin” qui ne sert pas à grand-chose, sinon à pérorer quand les centres de décision sont en Europe et aux États-Unis.
La Ligue arabe, quant à elle, n’est plus que l’ombre d’elle-même depuis que des nains ont pris la place des géants, au moins sur ce plan-là, comme Nasser, Boumediene, Saddam, dictateurs, certes, mais il y avait l’honneur avec. Depuis que les pays du Golfe ont la mainmise sur cette institution, elle est devenue une caisse de résonance des groupes salafistes qui polluent la région avec l’argent des émirs et l’armement américain, voire israélien.
Pour avoir bonne conscience, on promet une aide pour la reconstruction d’une région choisie de façon délibérée comme zone d’expérimentation. L’hypocrisie n’a finalement pas de limites.
Le monde entier reste ligoté devant un État d’Israël qui redouble de férocité en même temps que les pays arabes restent engoncés dans des luttes civiles et intestines, fomentées par des spécialistes de Printemps.
Il est fort à craindre que la mise à mort des citoyens de Gaza ne soit là qu’un signe précurseur de la chute d’Israël qui a, jusqu’à présent, vécu sur le fonds de commerce du génocide dont il a été victime durant la Seconde Guerre mondiale.
Liberté
Ce qui se passe à Gaza pèsera sur la conscience des nations du monde qui se disent libres et qui continuent à faire repentance d’une Shoah dont ils sont les seuls à assumer l’entière responsabilité, mais l’histoire retiendra aussi leur passivité sur ce qui se passe à Gaza.
Comme elle retiendra que les Nations unies ne sont finalement qu’un “machin” qui ne sert pas à grand-chose, sinon à pérorer quand les centres de décision sont en Europe et aux États-Unis.
La Ligue arabe, quant à elle, n’est plus que l’ombre d’elle-même depuis que des nains ont pris la place des géants, au moins sur ce plan-là, comme Nasser, Boumediene, Saddam, dictateurs, certes, mais il y avait l’honneur avec. Depuis que les pays du Golfe ont la mainmise sur cette institution, elle est devenue une caisse de résonance des groupes salafistes qui polluent la région avec l’argent des émirs et l’armement américain, voire israélien.
Pour avoir bonne conscience, on promet une aide pour la reconstruction d’une région choisie de façon délibérée comme zone d’expérimentation. L’hypocrisie n’a finalement pas de limites.
Le monde entier reste ligoté devant un État d’Israël qui redouble de férocité en même temps que les pays arabes restent engoncés dans des luttes civiles et intestines, fomentées par des spécialistes de Printemps.
Il est fort à craindre que la mise à mort des citoyens de Gaza ne soit là qu’un signe précurseur de la chute d’Israël qui a, jusqu’à présent, vécu sur le fonds de commerce du génocide dont il a été victime durant la Seconde Guerre mondiale.
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