« Albert Camus, libertaire »
avec :
Benjamin Stora, historien, professeur à l’université Paris-13, est l’auteur de très nombreux ouvrages, dont chez Stock : La dernière génération d’Octobre (2003), Les trois exils. Juifs d’Algérie (2006), Les guerres sans fin (2008), Le 89 arabe (dialogue avec Edwy Plenel, 2011) et Voyages en postcolonies. Viêt Nam, Algérie, Maroc (2012).
Lou Marin, journaliste, traducteur et essayiste francophone d’origine allemande. Il est membre du CIRA, Centre International de Recherche sur l’Anarchisme, à Marseille.
Présentation de l’éditeur :
Présentation de l’éditeur :
Inscription : infos@iremmo.org
Participation : 5€ (3€ : étudiants et demandeurs d’emploi)
Abonnez-vous à toutes nos activités : Carte Intégrale 145/90€*
* Tarif réduit : étudiant et demandeur d’emploi
iReMMO 5, rue Basse des Carmes, 75005 Paris (M° Maubert Mutualité)
Mercredi 11 décembre (18h-20h)
avec :
Benjamin Stora, historien, professeur à l’université Paris-13, est l’auteur de très nombreux ouvrages, dont chez Stock : La dernière génération d’Octobre (2003), Les trois exils. Juifs d’Algérie (2006), Les guerres sans fin (2008), Le 89 arabe (dialogue avec Edwy Plenel, 2011) et Voyages en postcolonies. Viêt Nam, Algérie, Maroc (2012). Lou Marin, journaliste, traducteur et essayiste francophone d’origine allemande. Il est membre du CIRA, Centre International de Recherche sur l’Anarchisme, à Marseille.Présentation de l’éditeur :
Les questions soulevées par l’auteur de L’ Étranger restent extrêmement sensibles et provoquent des tensions toujours vives. C’est évidemment le cas de la question coloniale et de l’ombre portée de la guerre d’Algérie dans la société française d’aujourd’hui. Nombreux sont ceux qui voudraient annexer Camus, le lire de façon univoque, l’enrôler dans leur combat politique, notamment à l’extrême droite. Dans ce texte vif et précis, Benjamin Stora et Jean- Baptiste Péretié dénoncent ces tentatives de captation multiples. Ils montrent aussi combien la position de l’écrivain pendant la guerre d’indépendance fait encore polémique en Algérie. Camus est toujours brûlant.
Présentation de l’éditeur :
Justice pour Albert Camus, dont les écrits libertaires n’ont été identifiés que tardivement – ses œuvres complètes et ses biographes les ont longtemps ignorés. Cette méconnaissance a faussé nos idées sur l’écrivain préféré des Français. Son sang espagnol – par sa mère – a battu à l’unisson des anarcho-syndicalistes de ce pays. Il sentait, « vivant en lui », Bakounine, le père russe de l’anarchie. Quant au « génie libertaire », il y trouva sa raison d’être.
Inscription : infos@iremmo.org
Participation : 5€ (3€ : étudiants et demandeurs d’emploi)
Abonnez-vous à toutes nos activités : Carte Intégrale 145/90€*
* Tarif réduit : étudiant et demandeur d’emploi
iReMMO 5, rue Basse des Carmes, 75005 Paris (M° Maubert Mutualité)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire