E-Algérie : Le projet «un PC par citoyen» fin prêt
«Le projet un PC par citoyen qui figure parmi les actions majeures inscrites dans le programme e-Algérie est fin prêt».
C’est ce qu’a indiqué, hier, Chérif Benmahrez, responsable de ce programme au ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce projet consiste à donner la possibilité à chaque citoyen, notamment les élèves, de disposer d’un micro-ordinateur, a-t-il rappelé, soulignant que «le mode de financement doit être pensé à cet effet».
M. Benmahrez a expliqué que «nous devons faire la part des choses quant aux segments des populations, sachant que les besoins et les modes de financement pour un élève et un enseignant du primaire ou universitaire ne sont pas les mêmes». Le projet Ousratic, qui a été lancé en grandes pompes, n’a pas abouti en raison des différents problèmes qui ont empêché son épanouissement. Ce projet, qui devait permettre à six millions de foyers d’avoir un PC, n’a pas eu les résultats escomptés. Il a souligné, par ailleurs, que le citoyen n’est pas assez informé de ce que les technologies de l’information et de la communication peuvent lui apporter, d’où la nécessité d’une formation de masse à l’Internet. M. Benmahrez a cité, en outre, d’autres actions, telle l’opération e-gouvernement. Par ailleurs, il a affirmé que le Centre d’études et de recherches dans les TIC est chargé de focaliser l’ensemble des études et de la recherche. Pour ce faire, il sera doté d’un centre de calcul intensif. M. Benmahrez a noté que le MPTIC a changé sa méthodologie dans la mise en œuvre du programme e-Algérie en impliquant les parties prenantes dans un partenariat et une collaboration «plus volontaires». Par ailleurs, l’Internet haut débit pour le téléphone mobile sera bientôt lancé afin de permettre à un plus grand nombre d’internautes de se connecter au haut débit via le mobile. Selon M. Benmahrez, la technologie Internet mobile utilisée actuellement dans notre pays est celle de la 2e génération. Elle devra passer à une génération supérieure, soit à la 3 ou 4 génération. Le passage à une génération supérieure en matière de haut débit pour le téléphone mobile permettra notamment d’introduire la vidéo dans le téléphone portable et d’améliorer de manière sensible le débit de la connexion non filaire. En outre, le ministère compte lancer d’autres projets relatifs à la formation de masse à l’Internet et l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Le même responsable a noté que «plus on forme, plus les gens deviennent exigeants, ce qui va créer de nouveaux besoins et une dynamique pour l’innovation dans de nouveaux services», ajoutant qu’un programme de formation pour les enseignants a été lancé durant les dernières vacances scolaires, à l’initiative du ministère de l’Education nationale.
M. Benmahrez a expliqué que «nous devons faire la part des choses quant aux segments des populations, sachant que les besoins et les modes de financement pour un élève et un enseignant du primaire ou universitaire ne sont pas les mêmes». Le projet Ousratic, qui a été lancé en grandes pompes, n’a pas abouti en raison des différents problèmes qui ont empêché son épanouissement. Ce projet, qui devait permettre à six millions de foyers d’avoir un PC, n’a pas eu les résultats escomptés. Il a souligné, par ailleurs, que le citoyen n’est pas assez informé de ce que les technologies de l’information et de la communication peuvent lui apporter, d’où la nécessité d’une formation de masse à l’Internet. M. Benmahrez a cité, en outre, d’autres actions, telle l’opération e-gouvernement. Par ailleurs, il a affirmé que le Centre d’études et de recherches dans les TIC est chargé de focaliser l’ensemble des études et de la recherche. Pour ce faire, il sera doté d’un centre de calcul intensif. M. Benmahrez a noté que le MPTIC a changé sa méthodologie dans la mise en œuvre du programme e-Algérie en impliquant les parties prenantes dans un partenariat et une collaboration «plus volontaires». Par ailleurs, l’Internet haut débit pour le téléphone mobile sera bientôt lancé afin de permettre à un plus grand nombre d’internautes de se connecter au haut débit via le mobile. Selon M. Benmahrez, la technologie Internet mobile utilisée actuellement dans notre pays est celle de la 2e génération. Elle devra passer à une génération supérieure, soit à la 3 ou 4 génération. Le passage à une génération supérieure en matière de haut débit pour le téléphone mobile permettra notamment d’introduire la vidéo dans le téléphone portable et d’améliorer de manière sensible le débit de la connexion non filaire. En outre, le ministère compte lancer d’autres projets relatifs à la formation de masse à l’Internet et l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Le même responsable a noté que «plus on forme, plus les gens deviennent exigeants, ce qui va créer de nouveaux besoins et une dynamique pour l’innovation dans de nouveaux services», ajoutant qu’un programme de formation pour les enseignants a été lancé durant les dernières vacances scolaires, à l’initiative du ministère de l’Education nationale.
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