mardi 31 mai 2011

Trois équipes décrochent le prix de la meilleure invention
 
Trois équipes composées d’ingénieurs en informatique issus de 13 wilayas ont décroché le prix de la meilleure invention robotique.
Cette manifestation qui s’est tenue au début de ce mois à Batna s’inscrit dans le cadre de la coupe d’Algérie de la robotique. Ces lauréats auront à participer également au concours international sur la même thématique qui aura lieu en Russie.
C’est ce qu’a fait savoir, hier à Alger, M. Loth Bounatiro, professeur à la faculté de Blida, membre actif du Centre de recherche en astrophysique et géophysique et président de l’Organisation des innovateurs et de la recherche scientifique (OIRS). Pour les encourager davantage dans le domaine de la recherche, l’OIRS a tenu à honorer ces jeunes inventeurs à travers une cérémonie de remise de prix organisée au siège du quotidien Echourouk. Cette occasion a été saisie par les membres de l’OIRS pour présenter à l’assistance des travaux élaborés par des chercheurs dans le domaine des sciences. Présents à cette rencontre, des chercheurs et professeurs algériens et français ont exposé différents thèmes s’articulant autour de la recherche en physique atomique. M. Youcef Messaoudène, un chercheur autodidacte, a évoqué, lors de son intervention, la thèse de la théorie «M».
Cette thèse conclut que l’homme n’a rien inventé mais que tous les miracles existent dans le Coran. Elle résume le rôle que pourrait jouer la gravitation quantique dans la compréhension de cette théorie «M», dont le travail «a nécessité plusieurs années de recherches, de documentations, de contacts et de consultations d’éminents spécialistes de la physique en général», a-t-il indiqué.
Il a précisé que la gravitation quantique au moment du big-bang était compactée et liée aux autres forces de la nature, puis s’était étalée dans l’immensité de l’univers, l’obstacle et le non-observable, les sept dimensions (cieux) cachées superposées que tous les théoriciens de la «M-théorie» introduisent dans leurs équations des dimensions superposées. «Le Coran l’appelle «intibakine», monde créé pour les anges et les djinns, entités invisibles avec lesquelles certains humains, exorcistes, médiums, cartomanciens, voyants… peuvent communiquer», a-t-il expliqué.
Et d’ajouter que le fait que cette communication entre le monde visible et le monde invisible soit possible nous informe sur l’étendue de la gravitation quantique et confirme le chapitre n° 78 «Les djinns» du livre sacré des musulmans révélé au Prophète Mohamed (QSSSL) il y a plus de quatorze siècles.
Selon le chercheur M. Messaoudène, les djinns, appelés scientifiquement les neutrinos, équivalent à une particule qui tient un rôle très important dans la constitution de ces entités invisibles. Ils se déplacent ainsi dans une gravitation quantique en fluctuant.
«Les physiciens théoriciens donnent une existence bien réelle à ces entités cachées qui passent de leur espace dynamique à notre espace-temps euclidien», a-t-il relevé.
Kahina B.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire