Ils partirent à 32 de Marseille, à pied, le 15 octobre 1983 ; ils furent 60 000 à l’arrivée à Paris, le 3 décembre. La Marche pour l’Egalité, dite aussi Marche des Beurs, fut la première manifestation nationale du genre en France. Trente ans après qu’en reste-t-il ? Des Marseillais issus de l’immigration maghrébine se sont posés publiquement la question, lundi soir, au Salon El Casbah du boulevard Dugommier (1er). « La seule chose qu’on a gagnée, c’est SOS Racisme, dira Ali Bouali, de l’association 1,2,3, aussitôt corrigé par un ancien, présent au départ de la marche, Lounes Abdoun :« Il n’y a plus ces ratonnades et ces crimes racistes qui étaient à l’origine de la protestation. »
Une nouvelle étape Un regard croisé de la nouvelle génération des deux pays : L'engagement que porte l'Association "Maison de l'Algérie" auprès des jeunes français et algériens pour une connaissance réciproque et une compréhension mutuelle de la relation d'exception entre la France et l'Algérie en vue d'un partenariat durable. www.maisondelalgerie.org
mercredi 16 octobre 2013
DES MARSEILLAIS SE SOUVIENNENT DE LA MARCHE POUR L’EGALITÉ
Ils partirent à 32 de Marseille, à pied, le 15 octobre 1983 ; ils furent 60 000 à l’arrivée à Paris, le 3 décembre. La Marche pour l’Egalité, dite aussi Marche des Beurs, fut la première manifestation nationale du genre en France. Trente ans après qu’en reste-t-il ? Des Marseillais issus de l’immigration maghrébine se sont posés publiquement la question, lundi soir, au Salon El Casbah du boulevard Dugommier (1er). « La seule chose qu’on a gagnée, c’est SOS Racisme, dira Ali Bouali, de l’association 1,2,3, aussitôt corrigé par un ancien, présent au départ de la marche, Lounes Abdoun :« Il n’y a plus ces ratonnades et ces crimes racistes qui étaient à l’origine de la protestation. »
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