dimanche 20 février 2011

Un nouveau développement socio-économique à l'ordre du jour
 

 
Les indices de la phase en gestation, en ce qui concerne l'aspect social et économique, et à décider par le premier magistrat du pays, procèdent d'une politique de développement qui s'inscrit dans un projet de transformation radicale, et se rattache à une conception plus générale, répondant aux attentes des populations et singulièrement des jeunes.  A travers cette nouvelle stratégie, déjà définie par le chef de l'Etat lors du récent Conseil des ministres, on décèle un très grand nombre de modèles, de dispositions et de mesures qui signifient une cohérence entre les attentes et les objectifs tracés. Des engagements qui traduisent, à ne point en douter, une conception évidente et incontournable. Ils rendent de fait plus visible le sens et la relativité des solutions proposées pour chaque mesure touchant aux grandes lignes de cette nouvelle stratégie, qui en terme politique, détermine ce qui est possible à concrétiser. Un mouvement de réponses à toutes les données économiques et sociales à faire évoluer et à adapter dans une conception " alternative " qui prend en compte les marges de manœuvre et les mesures  de l'avenir et à considérer au titre du développement durable. Une nouvelle forme de mise à niveau de la société, et de prise en charge de ses préoccupations, qui imagine un autre horizon plus confortable et permet l'intégration de réponses crédibles aux différents défis. Il est facile pour certaines voix de " parler " de ce qui est mal, c'est ce qu'ils font tous les jours. Mais pour ces voix, il est difficile d'évoquer les efforts fournis par l'Etat en direction du peuple, et il faudra sans doute du recul pour qu'elles disent ce qui est la vraie nature du développement actuel, qui repose sur une modernité dominante et constructive autour de centres vertueux : progrès social, progrès économique, progrès culturel, progrès politique. Une articulation particulière sur laquelle se fixe au présent les pouvoirs publics, justement engagés à prendre en compte les aspirations nationales et de les "ajuster " au monde nouveau et lui construire un environnement qui correspond à toute la société et surtout à réduire tous les déséquilibres. Il est certain que le rattrapage dans certains secteurs, indispensables à de nombreuses situations liées à la vie des populations, va impliquer de multiples acteurs publics et privés. Des choix possibles et des orientations qui recueilleront l'adhésion des masses. L'étape à venir est certainement la plus appréciable et la plus propice à répondre à tous les impératifs du moment, révélateurs des tendances et de la réalité de la nouvelle donne nationale. L'âpreté de l'actualité, montre que la " régulation " de la société est forcément le but des pouvoirs publics. Les mesures en vigueur à celles à tracer. Elles se veulent une " claire conscience " qui propose un projet pour toute la société. La nécessité d'un nouveau développement socio-économique s'impose, elle devient à l'ordre du jour.
B. C.



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