Le premier spectacle intitulé "Bal d’amour" a été marqué par la grâce des gestes exécutés élégamment en solo par l’artiste Khedidja Guemiri, danseuse professionnelle de la Compagnie "Trois horloges".
Les tableaux chorégraphiques expriment, dans leur déroulement synchronisé, le cri et la douleur d’une femme (universelle), Nassima dans le spectacle, symbolisant l’attente d’un amour qui n’existe pas. Un amour ardent, sincère, mais qui n’arrivera ni au lever du soleil, ni à son coucher.... Pourtant Nassima a cru en cet amour impossible jusqu’à la fin de sa vie.
Le rideau s’est levé sur "Ambivalence", un deuxième spectacle de danse contemporaine, joué par le duo Drissi Sofiane et Abdessamed Sedouki, deux danseurs professionnels du BNA. Le spectacle, à forte teneur philosophique, exécuté sur un fond de questionnements existentiels, relate le destin d’une personne en proie à un perpétuel conflit avec soi-même.
Cette lutte implacable que se livrent continuellement la conscience et le cœur, incarnée sur scène par un duel acharné entre les deux artistes, montre l’homme dans toute sa vulnérabilité de créature tantôt passionnée, tantôt raisonnable, ne sachant plus sur quel pied danser, ni à quel saint se vouer pour retrouver son ombre, sa doublure, ce jumeau qui le fuit constamment, tout en étant présent quelque part … dans l’inconscient.
Le troisième spectacle est un cocktail de danses traditionnelles, puisées du terroir national dont il exprime la diversité et la richesse culturelle, interprété par un ensemble chorégraphique composé d’une vingtaine de jeunes talents, appelés à assurer la relève du Ballet national.
Cette fresque de danses populaires qui a fait voyager les spectateurs à travers le territoire national, dont la chorégraphie a été réalisée avec brio par Drissi Sofiane, artiste professionnel du BNA, a vu défiler sur la scène plusieurs troupes de danses folklorique du pays, parée chacune de son costume spécifique pour donner plus d’aura au spectacle.
Il s’agit, entre autres, des danses alaouie, kabyle, chaouie, algéroise, annabie, en sus de la danse des reguibet et autres chorégraphies d’autres régions du pays, riches en couleurs et en mouvements du corps, invitant les spectateurs à s’élancer vers le beau, à partager la joie et le plaisir.
Cette tournée du Ballet national intervient après celles de Djelfa, Médéa, Ain Defla et Tipasa, a relevé Mme Hammoud Dalila, régisseur de cette structure artistique.
Par ailleurs, un spectacle chorégraphique de danse classique, actuellement en chantier, est programmé pour être présenté au début du second semestre prochain à Alger, par la directrice générale du Ballet national, Mme Fatma Zohra Namousse, a indiqué à l’APS M. Naimi Kouider, directeur artistique du BNA, précisant que depuis sa création en 1992, le BNA a eu à interpréter plus de 3000 spectacles et à sillonner plus d’une cinquantaine de pays étrangers.
APS
Les tableaux chorégraphiques expriment, dans leur déroulement synchronisé, le cri et la douleur d’une femme (universelle), Nassima dans le spectacle, symbolisant l’attente d’un amour qui n’existe pas. Un amour ardent, sincère, mais qui n’arrivera ni au lever du soleil, ni à son coucher.... Pourtant Nassima a cru en cet amour impossible jusqu’à la fin de sa vie.
Le rideau s’est levé sur "Ambivalence", un deuxième spectacle de danse contemporaine, joué par le duo Drissi Sofiane et Abdessamed Sedouki, deux danseurs professionnels du BNA. Le spectacle, à forte teneur philosophique, exécuté sur un fond de questionnements existentiels, relate le destin d’une personne en proie à un perpétuel conflit avec soi-même.
Cette lutte implacable que se livrent continuellement la conscience et le cœur, incarnée sur scène par un duel acharné entre les deux artistes, montre l’homme dans toute sa vulnérabilité de créature tantôt passionnée, tantôt raisonnable, ne sachant plus sur quel pied danser, ni à quel saint se vouer pour retrouver son ombre, sa doublure, ce jumeau qui le fuit constamment, tout en étant présent quelque part … dans l’inconscient.
Le troisième spectacle est un cocktail de danses traditionnelles, puisées du terroir national dont il exprime la diversité et la richesse culturelle, interprété par un ensemble chorégraphique composé d’une vingtaine de jeunes talents, appelés à assurer la relève du Ballet national.
Cette fresque de danses populaires qui a fait voyager les spectateurs à travers le territoire national, dont la chorégraphie a été réalisée avec brio par Drissi Sofiane, artiste professionnel du BNA, a vu défiler sur la scène plusieurs troupes de danses folklorique du pays, parée chacune de son costume spécifique pour donner plus d’aura au spectacle.
Il s’agit, entre autres, des danses alaouie, kabyle, chaouie, algéroise, annabie, en sus de la danse des reguibet et autres chorégraphies d’autres régions du pays, riches en couleurs et en mouvements du corps, invitant les spectateurs à s’élancer vers le beau, à partager la joie et le plaisir.
Cette tournée du Ballet national intervient après celles de Djelfa, Médéa, Ain Defla et Tipasa, a relevé Mme Hammoud Dalila, régisseur de cette structure artistique.
Par ailleurs, un spectacle chorégraphique de danse classique, actuellement en chantier, est programmé pour être présenté au début du second semestre prochain à Alger, par la directrice générale du Ballet national, Mme Fatma Zohra Namousse, a indiqué à l’APS M. Naimi Kouider, directeur artistique du BNA, précisant que depuis sa création en 1992, le BNA a eu à interpréter plus de 3000 spectacles et à sillonner plus d’une cinquantaine de pays étrangers.
APS
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire