Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a reçu hier à Alger la secrétaire d'État américaine, Mme Hillary Rodham Clinton, qui effectue une visite de travail en Algérie. L'audience s'est déroulée au siège de la présidence de la République en présence du ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci, du ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, M. Abdelmalek Guenaïzia, du ministre de l'Énergie et des Mines, M. Youcef Yousfi, et du ministre délégué, chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel. Cette visite «intervient dans le sillage de la première session du dialogue stratégique algéro-américain, qui s'était tenue le 19 octobre à Washington et qui avait donné une impulsion remarquable à la concertation politique entre les deux pays», avait indiqué le ministère des Affaires étrangères.
Les entretiens qu'a eus la secrétaire d'État américaine à l'occasion de son séjour à Alger ont porté sur «la consolidation du partenariat économique et sécuritaire entre les deux pays, ainsi que sur les questions de l'actualité régionale et internationale», a précisé la même source.
Les entretiens qu'a eus la secrétaire d'État américaine à l'occasion de son séjour à Alger ont porté sur «la consolidation du partenariat économique et sécuritaire entre les deux pays, ainsi que sur les questions de l'actualité régionale et internationale», a précisé la même source.
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Le Chef de l’État offre un déjeuner en l'honneur de Mme Clinton
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a offert, au palais du Peuple à Alger, un déjeuner en l'honneur de la secrétaire d'État américaine, Mme Hillary Rodham Clinton.
De hauts responsables de l'État et des membres du gouvernement ont pris part à ce déjeuner.
La visite de Mme Clinton est la deuxième de l’année après celle effectuée en février dernier.
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a offert, au palais du Peuple à Alger, un déjeuner en l'honneur de la secrétaire d'État américaine, Mme Hillary Rodham Clinton.
De hauts responsables de l'État et des membres du gouvernement ont pris part à ce déjeuner.
La visite de Mme Clinton est la deuxième de l’année après celle effectuée en février dernier.
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Situation au Mali
Mme Clinton : “Des discussions très approfondies”
La secrétaire d'État américaine, Mme Hillary Rodham Clinton, a indiqué avoir eu avec le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, des discussions «très approfondies» sur la situation qui prévaut actuellement dans la région du Sahel, et plus particulièrement au nord du Mali.
«Nous avons fait le point sur nos relations bilatérales extrêmement fortes et nous avons souligné le fait que nous venons tout juste de tenir une excellente conférence de dialogue stratégique qui s'est tenue la semaine dernière à Washington, comme nous avons eu des discussions très approfondies sur la situation dans la région (Sahel) et surtout la situation qui prévaut dans le nord du Mali», a déclaré à la presse Mme Clinton à l'issue de l'audience que lui a accordée le Chef de l'État.
«J'ai beaucoup apprécié l'analyse du Président Bouteflika qui est fortement enrichie de sa très longue expérience de la région pour faire face à la situation très complexe et aux problématiques très compliquées au nord du Mali, mais aussi pour faire face aux problèmes du terrorisme et de trafic de drogue dans la région», a-t-elle souligné.
«Nous sommes convenus d'assurer le suivi de ces discussions par le biais des experts en mode bilatéral et dans le cadre de concertations avec les partenaires de la région, avec l'Union africaine, la CEDEAO et les Nations unies, pour essayer de trouver des solutions à ces problèmes», a-t-elle ajouté.
La secrétaire d'État américaine s'est déclarée «très heureuse» de «pouvoir être de retour en Algérie et d'avoir des consultations très approfondies avec le Président Abdelaziz Bouteflika», tout en rendant hommage au Chef de l'État pour son «hospitalité» et pour «ce moment qu'il m'a consacré», a-t-elle dit. «Je remercie le Président (Bouteflika) pour ses remarques très utiles par rapport à ces différentes situations, et je me réjouie de pouvoir continuer ces discussions avec lui pendant le déjeuner», a-t-elle encore relevé.
Mme Clinton : “Des discussions très approfondies”
La secrétaire d'État américaine, Mme Hillary Rodham Clinton, a indiqué avoir eu avec le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, des discussions «très approfondies» sur la situation qui prévaut actuellement dans la région du Sahel, et plus particulièrement au nord du Mali.
«Nous avons fait le point sur nos relations bilatérales extrêmement fortes et nous avons souligné le fait que nous venons tout juste de tenir une excellente conférence de dialogue stratégique qui s'est tenue la semaine dernière à Washington, comme nous avons eu des discussions très approfondies sur la situation dans la région (Sahel) et surtout la situation qui prévaut dans le nord du Mali», a déclaré à la presse Mme Clinton à l'issue de l'audience que lui a accordée le Chef de l'État.
«J'ai beaucoup apprécié l'analyse du Président Bouteflika qui est fortement enrichie de sa très longue expérience de la région pour faire face à la situation très complexe et aux problématiques très compliquées au nord du Mali, mais aussi pour faire face aux problèmes du terrorisme et de trafic de drogue dans la région», a-t-elle souligné.
«Nous sommes convenus d'assurer le suivi de ces discussions par le biais des experts en mode bilatéral et dans le cadre de concertations avec les partenaires de la région, avec l'Union africaine, la CEDEAO et les Nations unies, pour essayer de trouver des solutions à ces problèmes», a-t-elle ajouté.
La secrétaire d'État américaine s'est déclarée «très heureuse» de «pouvoir être de retour en Algérie et d'avoir des consultations très approfondies avec le Président Abdelaziz Bouteflika», tout en rendant hommage au Chef de l'État pour son «hospitalité» et pour «ce moment qu'il m'a consacré», a-t-elle dit. «Je remercie le Président (Bouteflika) pour ses remarques très utiles par rapport à ces différentes situations, et je me réjouie de pouvoir continuer ces discussions avec lui pendant le déjeuner», a-t-elle encore relevé.
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Renforcer les perspectives du dialogue stratégique
La secrétaire d'État américaine, Mme Hillary Rodham Clinton, a entamé, hier, une visite de travail dans notre pays. La responsable de la diplomatie américaine a été accueillie à son arrivée, à l'aéroport international Houari-Boumediene, par le ministre des Affaires étrangères M. Mourad Medelci. Cette visite s’inscrit dans le prolongement de la première session du dialogue bilatéral stratégique entre l’Algérie et les USA qui s'était tenue le 19 octobre à Washington.
Ce dialogue, faut-il le rappeler, a conféré une impulsion remarquée à la concertation politique entre les deux pays. La secrétaire d'État américaine aura, à la faveur de son séjour à Alger, à examiner avec ses partenaires algériens, les voies et moyens susceptibles de consolider le partenariat économique et sécuritaire, ainsi que les questions d’actualité régionale et internationale.
L’agenda de Mme Clinton, compte tenu de la conjoncture présente, retient en guise de consultations avec ses interlocuteurs algériens, selon la porte-parole du département d’État, Mme Victoria Nuland, les questions d’ordre bilatéral et régional, la nécessité de persévérer dans le processus des discussions à propos de la coopération économique et sécuritaire menées dans le cadre du dialogue stratégique algéro-américain. Cette visite constitue, certainement, une nouvelle étape dans la dynamique de rapprochement initiée par les deux pays, au double plan bilatéral, mais également régional, tant il est reconnu que l’Algérie est considérée comme un acteur privilégié.
La coopération et le partenariat entre les deux pays furent mis en exergue par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, lors de la première réunion du Dialogue stratégique dans la capitale fédérale. Il a, notamment, indiqué que «les relations entre l’Algérie et les États-Unis ont pris, ces dernières années, une ampleur et une importance telles que leur impulsion, dans un cadre formalisé, s’est imposée naturellement, et ce au moment où les menaces s’étendent et les facteurs d’incertitude se multiplient dangereusement à travers le monde». Au chapitre économique, les États-Unis sont le premier client de l’Algérie avec plus de 15 milliards de dollars d’importations en 2011. De ce fait, les entreprises américaines gagneront à tirer profit des potentialités considérables de l’Algérie, en prospectant les opportunités de partenariat hors hydrocarbures. Le champ de la coopération a devant lui des perspectives réelles, à même de lui garantir une place appréciable dans les différents segments de l’activité économique.
L’Algérie et les USA conçoivent, à travers l’instauration de leur dialogue stratégique, la riposte aux défis communs, avec notamment la lutte contre le terrorisme, et parallèlement, la situation qui prévaut au nord du Mali, victime d’une crise multidimensionnelle (politique, sécuritaire et humanitaire).
L’approche, pour ce qui concerne le traitement de la crise malienne, trouve une convergence avérée entre Alger et Washington dans l’effort de recherche d’une solution globale capable de garantir la stabilité et la préservation de l’intégrité territoriale de ce pays voisin avec qui nous partageons un peu plus de 1.400 km de frontière.
M. Bouraib
La secrétaire d'État américaine, Mme Hillary Rodham Clinton, a entamé, hier, une visite de travail dans notre pays. La responsable de la diplomatie américaine a été accueillie à son arrivée, à l'aéroport international Houari-Boumediene, par le ministre des Affaires étrangères M. Mourad Medelci. Cette visite s’inscrit dans le prolongement de la première session du dialogue bilatéral stratégique entre l’Algérie et les USA qui s'était tenue le 19 octobre à Washington.
Ce dialogue, faut-il le rappeler, a conféré une impulsion remarquée à la concertation politique entre les deux pays. La secrétaire d'État américaine aura, à la faveur de son séjour à Alger, à examiner avec ses partenaires algériens, les voies et moyens susceptibles de consolider le partenariat économique et sécuritaire, ainsi que les questions d’actualité régionale et internationale.
L’agenda de Mme Clinton, compte tenu de la conjoncture présente, retient en guise de consultations avec ses interlocuteurs algériens, selon la porte-parole du département d’État, Mme Victoria Nuland, les questions d’ordre bilatéral et régional, la nécessité de persévérer dans le processus des discussions à propos de la coopération économique et sécuritaire menées dans le cadre du dialogue stratégique algéro-américain. Cette visite constitue, certainement, une nouvelle étape dans la dynamique de rapprochement initiée par les deux pays, au double plan bilatéral, mais également régional, tant il est reconnu que l’Algérie est considérée comme un acteur privilégié.
La coopération et le partenariat entre les deux pays furent mis en exergue par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, lors de la première réunion du Dialogue stratégique dans la capitale fédérale. Il a, notamment, indiqué que «les relations entre l’Algérie et les États-Unis ont pris, ces dernières années, une ampleur et une importance telles que leur impulsion, dans un cadre formalisé, s’est imposée naturellement, et ce au moment où les menaces s’étendent et les facteurs d’incertitude se multiplient dangereusement à travers le monde». Au chapitre économique, les États-Unis sont le premier client de l’Algérie avec plus de 15 milliards de dollars d’importations en 2011. De ce fait, les entreprises américaines gagneront à tirer profit des potentialités considérables de l’Algérie, en prospectant les opportunités de partenariat hors hydrocarbures. Le champ de la coopération a devant lui des perspectives réelles, à même de lui garantir une place appréciable dans les différents segments de l’activité économique.
L’Algérie et les USA conçoivent, à travers l’instauration de leur dialogue stratégique, la riposte aux défis communs, avec notamment la lutte contre le terrorisme, et parallèlement, la situation qui prévaut au nord du Mali, victime d’une crise multidimensionnelle (politique, sécuritaire et humanitaire).
L’approche, pour ce qui concerne le traitement de la crise malienne, trouve une convergence avérée entre Alger et Washington dans l’effort de recherche d’une solution globale capable de garantir la stabilité et la préservation de l’intégrité territoriale de ce pays voisin avec qui nous partageons un peu plus de 1.400 km de frontière.
M. Bouraib
EL MOUDJAHID
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