Les contraintes de la vie moderne ont fait que certaines femmes n'ont plus le temps pour préparer à manger!
La Toile explose au rythme de la bouffe. Des milliers de recettes, des photos de plats modernes et traditionnels ou encore toutes sortes de gâteaux submergent Internet. Les gourmands ne seront que satisfaits. En consultant les réseaux sociaux et en particulier Facebook, on remarque vite que ce mois sacré fait l'exception. Les contraintes de la vie moderne ont fait que certaines femmes n'ont plus le temps de préparer à manger! Aujourd'hui, ce n'est plus un problème, avec les offres constatées sur les réseaux sociaux. Par la grâce de l'Internet, des femmes au foyer, des jeunes filles et même des chefs cuisiniers professionnels publient et exposent sur les réseaux sociaux leur savoir-faire. Ils proposent des plats de «ftour» à des prix raisonnables. Au menu même la «chorba et Bourek» sont servis en ligne. La formule est simple. Il suffit juste de commander les repas désirés et appeler pour confirmer. Sarah Manel, une jeune femme de Draria, nous indique que les réseaux sociaux sont le meilleur endroit pour faire de la publicité. «Je partage avec les internautes des recettes faciles et simples à préparer, d'autant plus que la plupart des femmes qui travaillent n'ont pas assez de temps pour préparer à manger, avec toutes les autres obligations», indique la jeune femme, qui souligne que durant ce mois sacré, elle offre un service spécial Ramadhan. «L'écho positif de certaines pages de cuisine m'ont donné l'idée de partager mes plats avec les internautes». «Je prépare toutes sortes de plats, et le menu souhaité sera servi avec un prix raisonnable», témoigne Manel qui précise que la majorité de ses clients sont des femmes qui travaillent, des jeunes célibataires et parfois des femmes au foyer qui commandent des menus un peu spéciaux.Pour Manel, la formule est simple, il faut juste envoyer un message privé via la page Facebook, choisir le menu et enfin appeler pour confirmer la commande. «Les plats les plus rehaussée sont les plats légers comme les mini tartelettes au thon, ou viande hachée, les mini pizzas, boureks, bricks en cornets à la crème de poulet, des gratins et parfois même la chorba», précise la même dame qui indique qu'elle ne fait pas de livraison. «L'art culinaire algérien est si riche et les saveurs de la cuisine submergent les pages des réseaux sociaux, l'idée de vendre sur Internet est magnifique», indique Rachid Khalef, qui trouve que ce genre de publication parvient à offrir des services aux personnes intéressées. «Pour ma part, j'ai déjà fait une commande, et la qualité de service m'a ému, je tire chapeau à toutes les femmes qui passent des heures et des heures à la cuisine pour nous donner le meilleur de leur savoir-faire». «De plus en plus, on constate sur Facebook, de nouvelles pages spécialisées dans la cuisine. La tendance est en hausse constante», constate Zineb Hakimi. Elle souligne que durant ce mois sacré, de moult services sont offerts via Facebook. «Pour animer mes soirées ramadhanesques, en famille j'ai fait plusieurs commandes de différents gâteaux. Le résultat est magique avec une qualité de service exceptionnelle», commente Zineb. Par ailleurs, le partage à grande échelle de ce genre de statut et de publication participe à la propagation de la cuisine algérienne si riche dans le Monde arabe.
L'expression
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire